Chapitre 4 : Souvenirs et espoirs

18 3 0
                                    

Tandis que je me cachais dans une rue près des jeunes que je surveiller. Je vis une lumière sur la plage.

...

C'était cette même lumière, cette même plage à la même heure qu'il y a deux jours. Cette fois, j'eu le temps de me rapprocher de la lumière. Elle semblait formée une sorte de portail. Je ne l'ai pas touché, cela paraissait bien trop dangereux. La beauté de cette lumière me rappelait les explications incompréhensibles du docteur. La nostalgie gagna mon corps. Mais bientôt, il ne restait plus qu'une lueur, qui peu à peu disparaissait laissant cette lueur d'espoir combler le vide de mon cœur.

A cet instant précis, ma décision était prise. Je voulais la revoir ! Soudain, mes pensées furent coupées par une voie derrière moi :

- Yaz !

Je reconnue immédiatement cette voie et me retournât. Encore cet homme, pensais-je.

- Qui êtes-vous ? demandais-je.

- Le dernier seigneur du temps, me répondit-il avec un grand sourire.

- Docteur ! dit-je en sautant dans ses bras.

Il me serrât dans ses bras, tandis qu'une larme coulais sur ma joue. Mais j'avais eu tort. La revoir, enfin LE revoir est une chance inestimable. Je n'aurais voulu rater cela pour rien au monde. Nous nous séparâmes.

- Docteur, vous êtes un homme à présent ?

- Je change... m'affirme-t-il d'un ton triste.

- Alors docteur, qu'est-ce que c'est cette lumière ? demandais-je pour changer de sujet.

- Une faille dans l'espace-temps, m'explique-t-il d'un air passionné. Des extraterrestres l'ont emprunté pour venir ici. Ils n'ont fait aucune victime, je pense qu'ils ne sont pas hostiles. Ils devaient fuir quelque chose. Peu importe, la faille ne se refermera pas toute seule.

Je restais fiché à admirer la plage, tandis qu'il s'éloignait. « Vous venez » me lança-t-il. J'acquiesçât et m'empressa de le rejoindre. Je sentais une distance entre nous, ce n'était plus le même.

Nous nous dirigions vers l'hôpital, tandis qu'il m'expliquait son plan :

- ... et ce piège nous servira à retrouver les extraterrestres qui ont emprunté la brèche. Tentait-il de m'expliquer.

- Mais alors à quoi servent les câbles que vous avez bidouillés ?

- A détourner une partie de l'alimentation du bâtiment.

- Ils ne vont pas manquer d'électricité ? demandais-je inquiète.

- Nan, ils en ont beaucoup trop ! me répondit-il sure de lui

- Si vous le dite... Mais vous n'aviez pas dit que les aliens étaient gentils ?

- Si, ils le sont.

- Alors pourquoi on les attrape ?

- J'ai besoin d'information sur la faille.

Quelques minutes plus tard :

En arrivant sur place, le docteur montra son papier psychique à une infirmière. Cette dernière nous conduisit à un étage abandonné et reparti immédiatement. Le docteur et moi nous avancions vers le piège. Soudain j'aperçut deux créature étranges, le docteur commença à leur parler dans une langue que je ne comprenais pas. Sans doute avais-je passais trop de temps loin du tardis pour que sa traduction automatique fasse encore effet sur moi.

Quand, ils eurent terminé leur discussion, le docteur semblait en colère. Il se retournât et se dirigeât vers l'assesseur d'un pas déterminé.

- Qui a-t-il Docteur ?

- Ce sont des cybermens qui maintiennent la brèche ouverte.

- Des cybermens... C'est mauvais ?

- Très mauvais !

- Comment on les arrête ? Vous avez un plan ?

- Je n'ai jamais de plan, me rétorque-t-il amuser et sûre de lui à la fois. On va faire un tour au Tardis et on verra.

Au Tardis... Cela faisait si longtemps que je n'y avait pas remis les pieds. Une chose était sure, le Docteur n'avait plus de sentiments pour moi.

Quand nous furent arrivés devant ces grandes portes bleues, mon cœur se serra. Il m'a fallu deux bonnes minutes pour franchir leur seuil. Bien évidemment, il était toujours plus grand à l'intérieur. Seulement, la décoration était différente. Elle m'avait dit que la déco changeait après chacune de ses régénérations, mais elle ne m'avait pas dit que cela pouvait être si différent. Tout avait changé, la lumière est passé dans les tons bleu, l'architecture était méconnaissable et la console possédait beaucoup moins de leviers et boutons. On aurait une version simplifiée du Tardis. Comme, s'il s'agissait d'une version temporaire !

...

Après son départ...Où les histoires vivent. Découvrez maintenant