Ouvrons les yeux sur mon malheur,
Mes ailes ne toucheront plus le ciel.
Amertume qui me noie doucement,
Je plonge bien plus profondément
C'est dans cette étendue torrentielle
Que l'on peut voir mes sombres peurs.Deux heures avant le déraillement de l'illusion cauchemardesque
Je ris, je joue, je souris, je survis.
Soudainement se crée la faille, enveloppant mon horizon.
Je pleure, je meurs, ce n'est plus la survie,
Je la dessine en un grand plan en une immense fresque
Je détruis ce qu'il me restait de sensations.Humains, oserez-vous conter l'histoire vraie
Des monstres que vous avez créés ?
Sur leurs tissus de mensonges, je m'allonge à bout de force.
Plume virevoltant, je tombe au ralenti, pas de raccourci.
Alors je regarde ma souffrance, plus tenace que l'écorce,
Sombre du grain fou que, maintenant je suis.Ignorance et corruption
Résumé des grands hommes
Volant par tentation
Pour avoir la plus grande somme...
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Poème en vrac~
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