Fin signifiant le commencement d'une mort,
Une folie renouvelée, liée encore par ce sort.
Ma vie s'évacue par le moindre pore de mon corps
Vous connaissez maintenant le contour du décor
Dans un liquide opaque, rougeoyant, unicolore.
Tiré de de plus en plus fort vers le bord
Peu à peu menant à un certain accord
Moyen d'obtenir le contre-sort, libéré des efforts.
Apercevant, d'un battement de cil, au loin le corridor
Illustrant mon aurore, trouvant le cador
Ce maître, devenant dans un accord mon mentor.
Dans un cri sonore, me relevant encore
Je répands son cadeau, au mieux un trésor
Libérant les spores, invisibles, incolores
Ma claymore comme seul ressort.
J'entends le cor, victoire des conquistadors
Je les attends cherchant le réconfort.
Accueillant les simplement d'une métaphore :
« Vous avez tort car je suis un transport,
voici un passeport pour le royaume des morts...»
J'ai écrit pour ceux qui se battent chaque jours contre leur démons intérieurs. Parfois vous courberez l'échine fasse à des difficultés grandissantes mais vous ne devez jamais abandonner. Il n'existe point de lumières sans ténèbres, plus la lumière s'intensifie et plus votre ombre grandit. Ainsi vont les choses, cependant, ce qui compte réellement, c'est votre capacité à vous relever. N'abandonnez jamais même lorsque tout semble perdu, car c'est à ce moment que vous comprendrez pour quelle raison vous vous battez.
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Poème en vrac~
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