Meurtri, sans armure
Je voyage en âme pure
Le long chemin perdure
Se fondant dans le lointain.
Multiples bifurcations
Arpentant les contrefaçons
Vil manant, voleur de mains
Conduisant la tienne dans un soi-disant lieu sûr
Tu ne peux voir derrière cette serrure
Ceux qui se tassent contre un lendemain
Des cas rares partent à leurs façons
Certains s'exclamèrent : "Voyons !".
Quelques blessés étendus dans un coin
Personne n'en a pourtant cure
J'arrive simplement traînant mes minuscules fêlures
Sur ce chemin délimité de zébrures.J'aperçois les moutons qui s'entassent,
Poursuivant tous la même route
Tandis que je sortais de cette ligne de traces
M'aventurai-je dans la forêt ? Sans doute.
J'entendis les cris des personnes suivant la ligne
Les uns m'injuriant, les autres s'inquiétant,
Tous étaient de la couleur du cygne
Un net blanc dissimulant
Leurs caractères des plus sincères.
Je continuai à suivre la terre
Et découvris un endroit magnifique
Bien plus magnifique qu'au bout du trait
Vêtu de noir, ce jardin semblait
Bien plus dur à attendre que les êtres horrifiques.
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Poème en vrac~
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