Les yeux remplis comme un vaste océan dans ses profondeurs, elle essaie de garder son courage, mais chaque jour, son courage s'étale de plus en plus à l'image de cette rue remplie de feuilles mortes un jour de printemps.
Dépassée de toujours vouloir se battre pour les autres alors elle s'autodétruire en se disant que plus tard les problèmes cesseront.
Elle aurait dû lui dire, elle aurait dû le faire, mais s'est abandonnée elle-même par envie de vouloir guérir.
Mais une plaie ouverte ne se renferme jamais si elle ne cesse de continuer à s'ouvrir.
Alors, elle fait mine de la guérir pour ne sentir aucune douleur réelle qui pourrait l'anéantir.
Puis elle continue de nager dans cet océan, troublant de plus en plus ses yeux qui lui empêchent cette noyade constante.
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L'écho de mon cerveau
Poetryj'écris des textes, ce qui me passe par la tête, que ce soit amour ou déception, j'évacue mes pensées dans une œuvre, pour explorer toutes les dimensions