Une fois je me suis demandé, pourquoi j'étais la dernière de la famille, et puis j'ai compris que je ne pouvais pas y remédier, mais j'ai réellement l'impression d'être un poids en plus pour chaque personne ici présente.
L'impression d'être de trop mais aussi qu'on ne veuilles pas de moi mais qu'on s'efforce car le mensonge est rassurant mais vouloir être rassuré, personne ne se décide de l'entreprendre.
Alors je divague au fond de mon cerveau, pour me faire ressentir autre chose que du dégoût, puis je me rappelle de tout ses moments où j'ai été éloigné ou même ignoré et je me dis, au fond «je le mérite peut-être un peu».
Chaque mot que l'on me transmet, je les prends et j'en fais des histoires banales qui deviennent rapidement des histoires réels, chaque geste que j'entreprends me rappelle qu'à tous moments je les perds mais que le destin est écrit ainsi puis chaque actes que je ne commet pas montre un vrai lâcheté d'une facette de moi.
Vu que j'ai toujours l'impression que j'aime plus que l'on ne m'aime alors j'ai décidé d'arrêté d'aimer.
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L'écho de mon cerveau
Poesiaj'écris des textes, ce qui me passe par la tête, que ce soit amour ou déception, j'évacue mes pensées dans une œuvre, pour explorer toutes les dimensions
