"L'orgue commence à jouer,
Les pieux croyants commencèrent à prier
Et toi, qui est là, tu te demande si c'est pêché
Que de ta présence là-bas, pour abréger.Les violons l'accompagnes,
Valse à mille temps ou trois temps
Les yeux et les oreilles, perdus dans le vague
Valse a deux temps en chantant l'enchantement.La vie éternelle n'existe pas
L'amour éternel ça oui et tu sais qu'elle est là
Que son rire vaut bien plus qu'une valse, ça s'entend
Tu voudrais tant que le bonheur dure cent ans.La valse à cent ans ou à cinq temps
Peu importe tant que son rire s'entend
Tant que tes oreilles fonctionne alors ça s'étend
La valse à mille temps durera bien plus que cent ans.Dans ses bras éternellement,
La regader prier en attendant
Que la partition à mille temps
Puissent enfin vous laisser vos âmes d'enfants.Pieux baisers du bout des lêvres,
Douces caresses du bouts des doigts
Coeur battant à mille temps, à en perdre haleine,
Tremblotant a l'unisson puis, son sourire tu le vois.La valse à cent ans a reprit
De plus belle à cinque temps puis surgit
Les vibration de l'orgue, valse à mille temps
Puis reviens sur la sonate à deux temps.Sous vos baisers les applaudissements
L'amour toujours, vous acclamant
Vous les deux amoureux, au fond d'une église à l'unisson,
En enchantonnant le chant de vos cardiaques pulsions.Valse à mille temps puis à cent ans
Repasse en valse à cinq temps, en attendant ?
Valse à trois temps, puis en deux temps,
Enfin le salut, puis le baiser sous les applaudissements."
VOUS LISEZ
Confessions D'un Acharné
Non-FictionDes récits pêle-mèle de façon épistolaire, Ou en prose, du moment que l'air En lui meme nous fais nous sentir Aussi léger que notre plume nous enivre. D'écrire. Nos maux en mots. J'éspère que ceux-ci vous plaîront, Bon voyage dans votre Nation, Port...