"Ils sont là en toi
Tes démons de minuit avec
Lesquels tu danses la nuit
Tu veux qu'ils te laissent là
Choir sur le sol tapissé de tes
Regrets, de ta culpabilité
De tes propres mots-poignards
Le silence assourdissant
Il veulent que tu ne sois que cendre
Mais la vérité c'est que tu ne sais
Plus sur quel pied danser
Sur quelle épaule te reposer
Tu te sens solitaire peut être
Un peu libre mais en prison
Cérébrale, tu ressasse mais au moins
Tu écris tu t'exprimes, ces maux
Deviennent des mots des phrases,
Paraphrases, consonnes voyelles et vers
Proses parfois vers de rimes, toutefois
Rien n'est perdu mais rien n'est sûr
Que Seras-tu demain ?
Alors tu te bats, pas le choix,
Tes démons ne t'auront pas,
Pas aujourd'hui ni hier, tu
Survis et t'en as marre d'être sur le qui-vive.
Tu veux mais t'as l'impression qu'il
N'y a que des âmes qui vivent et
Que toi t'es vide, coquille vide,
Débile, parano et j'en passe tu veux
Ressentir, les ressentir
Tes démons de minuit sont aussi
Là le jour, fruits de tes insomnies
Y a pas d'heure pour les âmes errantes
Qui vivent, qui s'envolent,
Y a pas d'heure pour naître ou mourir,
Se blesser ou blesser mais dans le fond
Avec nos démons, vide et les autres
Qui vivent, on s'en sort quand même
Quand bien même l'impression qu'il
N'y a pas âmes qui vivent.
Le vide c'est moi et mes démons s'en nourrissent,
Anxiété, paranoïa, cupabilité, vidé
De mes émotions, je n'ai plus l'âme
Qui vit, écorché, mes plaies ont cicatrisé
Mes mégots s'entassent dans le cendrier
Je ne suis que vidé mais je vais
Y arriver il n'y a que mon amour pour toi
Qui me fait vivre encore un peu, juste
Encore survivre un peu
Je m'accroche à un rêve car je sais
Qu'il deviendra réalité. Alors s'il te plaît
Fais taire ton silence et montre moi
Tes maux, je te soutiendrais et c'est
Pas faux, pends ton temps on a le temps,
Il y a toujours le temps de mettre des mots sur tes maux
Je t'aime et parfois c'est douloureux
Si je le pouvais je plaquerais tout pour toi et j'enfermerai mes démons dans
Mon passé tumultueux de vertiges
En tout genre et en intensité.
Je t'aime et je veux vivre je ne peux
Plus survivre à ma coquille vide."
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Confessions D'un Acharné
Non-FictionDes récits pêle-mèle de façon épistolaire, Ou en prose, du moment que l'air En lui meme nous fais nous sentir Aussi léger que notre plume nous enivre. D'écrire. Nos maux en mots. J'éspère que ceux-ci vous plaîront, Bon voyage dans votre Nation, Port...
