《Amal - On ne choisit pas sa famille..》

PARTIE 8

BismiLlah, Salut, Salam

~La Prison c'est dur, la sortie est sûre !~

•|DANS LA PEAU D'IMRAN|•

Je rentre dans la salle, lui serre la main. Il commence :

Avocat-: Monsieur El Faouzi. La juge et moi-même avons bien inspecté votre dossier et, je ne vous promet rien, mais il est possible que vous sorties avant l'heure pour bon comportement. Dans deux jours, nous aurons rendez-vous avec la juge pour en parler. Des questions ?

-: Euhh nan.

Avocat-: Donc à dans deux jours M.El Faouzi !

•|DANS LA PEAU D'AMAL|•

Pourquoi sa m'arrive qu'à moi ça ?!
J'en ai marre de ma vie ! Déjà mon viol, puis ça ! Je.. J'comprends pas ! J'ai rien fait d'mal, si ? J'demande juste une vie tranquille ! Rien de plus ! Peut être que je ne suis pas faite pour vivre ! J'suis une erreur ! Vous voyez, comme une faut que l'on à voulu barrer mais on a déjà rendu la copie ! -pleure-
Il est arriver à tirer un trait en si peu d'temps, comme ça, sur un coup d'tête !

Sur toutes ces pensées j'mendors.
À mon réveil, j'suis toujours dans cette salle, rien n'a changé.
Imran, si tu savais à quel point tu es bête ! Bête d'avoir cru cet homme qui m'a arraché ma fierté de force ! Si tu savais Imran..

Peu après mon réveil, une infirmière entre dans la chambre. Je lui demande de me laisser me balader dans l'hôpital, normalement elle n'a pas le droit, mais je crois qu'elle a eu pitié. Je ne supporte pas d'être enfermer, faut qu'j'bouge !
Donc, c'est avec mon fauteuil roulant que j'avance dans les locaux hospitaliers..
J'me ballade un peu partout dans l'étage. Et si j'devais rester assise sur cet engin toute ma vie ? J'dépanderais que de ça en faite ? J'pourrais plus rien faire toute seule ! Je.. J'veux surtout pas ça moi ! Mais malheureusement c'est pas moi qui décidé..

Dans ce long couloir, j'tombe sur un jeune de la cité Nabil. J'ai dû parler quelquefois avec lui, sans plus. On a quand même un bon feeling. Je crois même que la dernière fois il avait accompagner Souley' me voir. Il avait un tête de fatigué. Il avançait vêtu de son fidèle survêt' et ses TN.
Dès qu'il mut vit, il prit un sourire triste. Je vous mentirez si je disais qu'il n'était pas magnifique !