One rules

Chapitre 7 | Ashton

Hello 🫶🏽

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"L'université développe tous les dons de l'homme, entre autres la bêtise."

Alors que je sens mon plaisir naître au creux de mon ventre, la fille qui me pratique une fellation lèche mon gland de façon sensuelle tout en me regardant dans les yeux et je cherche automatiquement à la toucher pour ne pas arriver trop vite à l'orgasme.

Je presse sans délicatesse sa poitrine généreuse à peine recouverte d'une chemise entre-ouverte, elle gémis contre ma queue m'arrachant un râle rauque et je n'ai plus le choix que de me tenir au étagère de ce local de sport.

Personne n'a dit que c'était interdit

- bordel, t'es tellement bonne, gémis-je

Soudain mon plaisir grandit et je sens une grosse boule éclatée en moi déversant ma semence dans la bouche de la fausse blonde, je reprend une respiration normal, mais lorsque je constate qu'elle avale mon sperme, je m'exclame excessivement :

- t'étais pas obliger d'avaler

Elle me fait un grand sourire avant de poser la main sur mon torse musclé que je contracte aussitôt.

- tu n'en veux pas plus...avec moi ? Questionne t-elle de manière enjôleuse

C'est pas vrais

Je souffle agacé

- non ! De la baise et c'est tout vous le savez déjà toutes non ?

Elle mime une moue offusquée mais dès lors que je vois ses yeux ébène se remplir d'eau j'ai un sentiment de culpabilité qui m'envahit directement.

- non, je voulais pas dire ça, m'exclamais-je rapidement alors qu'elle commence à partir, tu le sava- ATTEND !

Lorsque la lourde porte en fer se claque derrière son fessier rond je soupire excédé de mon propre comportement.

- pourquoi elle ne comprennent jamais les règles aussi, dit-je pour moi même

Je remonte mon jean large noir et replace correctement ma veste volumineuse sur mes épaules de façon correcte.

Je tique lorsque je sens mon téléphone vibrée dans ma poche de pantalon.

Andrew

Grouille toi captaine

J'arrive

Je ne me casse pas la tête à écrire un long message Andrew s'en contentera.

NDA : friends - chase atlantic

Je quitte ce petit endroit sombre et traverse le gymnase qui est vide lors de la pause déjeuner, même les basketteurs qui s'entraînent régulièrement ni sont pas présents.

Je pousse les nombreuses portes qui encombrent les couloirs pour les séparer, je fait abstraction de toute ces filles qui se dandinent sous mon nez, assez servie pour la journée.