Croquante petite pâtissière

Chapitre 2

Après avoir réaliser toute la pâtisserie et donner un bon coup de main à ma vendeuse Sasha pour faire une belle vitrine pâtisserie, je retourne a mon poste pour préparé de l'avance avec la pâte a choux et essayer ma nouvelle recette de brownie préparé ce matin avant le travail. Il va falloir que je me concentre sur la fête de paque qui va arriver dans un mois, il faut préparé les moulage en chocolat et les montage spéciaux. Je me pose un peu le temps que mon chocolat pour le brownie fonde et je commence a faire des esquisses pour les montages spéciaux. Tout en crayonnant je chantonne la musique "Creeping in my soul - Cryoshelt".

-Humm je trouve rien de fou dans mes croquis... sa je l'ai déjà fait il y a deux ans, dis-je en balançant ma feuille. Sa je n'ai pas assez de temps et celui ci j'ai pas les moules nécessaires, sa m'agace, épuiser je balance les feuilles sur le plan de travail ne réfléchissant.

-Peut être que tu cherche tout simplement trop loin ma petite Ali ! s'exclame une voix grave qui me fit frissonner.

Surprise je sursaute en me retournant rapidement vers cette voix que je reconnait que trop bien.

-Hilarant Monsieur Erdre, mais si je ne trouve pas un sujet sympa a faire pour pâque de cette année, ma vitrine risque d'être bien fade a mon goût.

Monsieur Erdre de son prénom Thomas, étais comme a son habitude très élégant avec sa chemise et son pantalon de costume Armani. Le tout, fraichement repasser et sans aucune imperfection, une paire de chaussure de ville sûrement aussi chère que le reste de son costume. Avec ma tenue de pâtissière j'ai l'air bien piètre a ses côtés, mais peut importe. Je me demander surtout a quel moment il n'a pas peur de se salir au milieu de la farine et les matières première salissante . 

-Je ne doute pas de toi ma petite Alice, je suis sur que tu vas réussir a trouver une pièce qui saura faire parler d'elle. Comme celle que tu as crées les deux année précédente et qui encore maintenant font ma fierté de savoir que c'est toi qui les as réaliser ici dans ma boulangerie, dit-il avec un sourire en coin. 

Il est vrai que les pièce des année précédente font encore parler d'elle, grâce a mon travail a pu avoir une nouvelle clientèle et une page entière dédier a notre boulangerie dans un journal régional.

-Dit moi ma petite Ali, aurait tu quelque minute à me consacré s'il te plait, il faut que je te parle de quelque chose important. 

-Humm oui je pense pouvoir faire cela, il faut juste que je termine ma nouvelle recette. Je dirais dans 10 min a peu près. 

-Bien rejoint moi dans mon bureau s'il te plait quand tu auras terminer. 

-Oui monsieur je fait au plus vite, lui dis-je en souriant.

Il parti dans son bureau pendant que je terminait ma recette de brownie. Après l'avoir mis au four, je me lave les mains et prépare une tournée de vaisselle dans le le lave vaisselle et retire mon tablier. Je le pose dans un coin, puis je pris la direction du bureau de mon patron. J'eu la sensation que je ne sortirait pas de se bureau heureuse, je sentais que j'avais devoir affronter le diable. Mes convocations au bureau été très rare voir inexistante, donc cela m'inquiète d'une certaine manière.

En entrant dans le bureau, je ressent la présence presque immédiate d'un homme. Autre que Monsieur Erdre plus jeune et plus puissant. Ne voulant pas ma laisser intimidé par lui je gardais la tête haute sans même le regarder, je senti son odeur de pin et de cannelle embaumé la pièce. Par curiosité je dérive mon regard vers lui et rencontra un regard au couleur émeraude, profond et puissant jamais un regard m'avait autant attiré. Je le vis adossé sur le mur derrière le bureau de Thomas, il étais puissant et avait de la prestance.

-Ali je te présente Eden, il est mon... neveu ! Il vient de l'étranger, il vient par chez nous pour me rendre visite. Il restera avec moi pendant une durée indéterminé.

-Enchanté et bienvenue en France, en lui faisant un signe de tête. C'est bien gentil Monsieur de faire les présentation avec votre famille mais je me sens pas plus concerné que cela donc je préfère retourner a mes occupations que de déranger vos retrouvaille.

Bien décidé a partir de ce bureau ou je me sens mal a l'aise avec la présence d'Eden. Il me perturbe autant physiquement que psychiquement et mon instinct m'encourage a fuir loin de cette homme dangereusement séduisant.

-Attend Ali ! me dit-il. Si je te le présente ce n'est pas pour rien bien au contraire. J'aimerais que tu le prenne sous ton aile pour lui faire découvrir la culture culinaire de France.

-QUOI ! m'exclamais je complètement abasourdie. On en a déjà parler de nombreuse fois Monsieur Erdre, pas de stagiaire, pas d'apprenti ou quoi que se soit qui ressemble de prêt ou de loin à ça ! 

Je le dévisage furieuse qu'il remette le sujet sur le tapis. Certainement pas, il en est hors de question que je prenne quelqu'un, il est hors de question de tout recommencer !

-Ali s'il te plait, implora mon patron. Eden est un bon gars il est arrivé depuis quelque heures, si je pouvais lui assurer un job ici je serais plus tranquille que de le savoir ruminer dans une chambre d'hôtel.

Eden se décolla du mur les bras croisée, il avait l'air de me regarder comme ci j'étais une folle, son regard suspicieux me faisait froid dans le dos. Je voulais surtout pas qu'il m'adresse la parole de peur d'être hypnotisé par sa voix, déjà que son corps me faisait un effet de fou, sans parler de son regard.

-Je suis désolé Mademoiselle Alice, ma venue tombe au plus mal. Mon arriver devais être pendant l'été mais les choses ont fait que je suis ici à l'heure actuelle. Et pourquoi ne pas profiter de vos nombreux talents pour apprendre de vous les secrets de la cuisine française.

Envouté par sa voix comme je m'y attendais, il sait choisir ces mots avec précision. Une voix suave, grave, et un côté autoritaire comme si les moindre désir devait être comblé dans l'instant suivant. Je suis complètement déstabiliser il faut que je reprenne mon calme avant de faire une crise d'angoisse, je dois expédier cette entrevue.

-Je suppose que je n'ai pas le choix et qu'un contrat a déjà été fait et signer avant mon accord, sans que je ne remarque quoi que se soit ! en balançant un regard noir a mon patron.

-Oui le contrat a été fait il ne manque que ta signature en bas de la page, il pointe du doigt une zone de la dite feuille de contrat.

Prise d'une rage incommensurable je lui arrache la feuille des mains, j'appose ma signature aux zones demandées et je lui balance sur son bureau. Je fixe Eden du regard et prend une forte inspiration.

-Demain 04:00 devant la porte de service sur le côté droit du bâtiment, prévois une tenue correcte pour rentrer dans mon labo. Pas de bijou, pas de montre, pas de babiole quel conque. Le moindre retard, le moindre défaut sur ta tenue tu dégage aussi vite que tu es venu, j'ai des clients à satisfaire et je suis pas la pour faire office de garderie. Si tu as des question demande a ton oncle, sur ce j'ai encore du travail et je ne veux pas être déranger !

Je sortie du bureau comme une furie, j'ai claqué la porte énervé et je me dirige vers mon labo ou je ne serais peut être plus seule demain matin. J'essaie de m'avance sur mon travail pour demain, vu qu'un parasite va s'immiscer dans mon labo et que j'ai pas le droit de l'exterminer. Il va falloir tout lui expliquer et lui apprendre au fur et a mesure les choses, vu que je ne connais pas du tout ces faculté je dois m'attendre a tout. C'est dans les alentour de 16 heures que je termine ma journée de travail et que je retourne me changer aux vestiaires. Je suis obliger de passer devant le bureau pour aller me changer et je constate que Monsieur Erdre et Eden sont toujours en grande discutions. Je fais abstractions et je file me changer rapidement pour vite prendre l'air et sortir loin de cette homme au regard vert perçant. Je fini par rentrer à 17h30 à la maison, j'en profitais pour faire une petite séance lecture, tout en préparant le repas je réfléchi beaucoup à la journée de demain. Impossible de me concentré sur mon livre je pris un bain chaud pour détendre mon corps, mais même le bain ne faisait pas beaucoup d'effet sur mon subconscient qui ne pensait que a lui.

Je suis parti me coucher vers les alentour de 20h, 20h30 avec l'espoir de trouver un semblant de sommeil sans un regard vert m'observant de part et d'autre de la chambre de mon modeste appartement.