🥀ii. where it all begins🥀

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Tenant les mains de Bellatrix et Phoebe, deux femmes éperdument amoureuses et plutôt malheureuses en amour, elles n'avaient pas eues beaucoup de chance ensemble, Venusia attendait que le spectacle commence.

-Pourquoi...Pourquoi est-ce que je t'aime comme ça ? J'en ai marre de ne pouvoir te laisser, de revenir à chaque fois...Alors que je n'aime pas ce que tu fais tout les soirs, avec ta bande de mage noir. Je ne sais même pas pourquoi je continue. Pourquoi je te laisse me prendre dans les bras. Tout est toujours si étrange avec toi. La seule chose dont je suis sûre est que tu es méchante, que je suis gentille...que je ne devrais pas t'aimer mais que je t'aime, répliqua la voix fragile de Phoebe Fererröne.

L'enfant assise entre les deux adultes ne comprenait rien et ne savait rien. Que se passait-il dans la tête de ses parents, de ses deux femmes qui l'élevait mieux que quiconque ? Cela, elle ne pouvait le savoir. Elle ressentait simplement quelque chose d'étrange dans l'air. Une chose qu'elle ne pouvait comprendre.

-Mais tu m'aimes, et tu le sais. Et c'est ce qui compte. Nous pouvons être heureuses si nous nous aimons toutes les deux. répondit la douce voix de Bellatrix, une voix qui à présent semblait dénouer de raison.

Elles s'aimaient mais tout était difficile. Leurs points de vues divergeaient. L'une faisait partie d'un clan étrange, les mangemorts, l'organisation de Voldemort, l'ennemi de l'ordre du Phoenix et organisait torture et meurtre sur des gens qu'ils appelaient les sangs-impurs. L'autre faisait partie de l'ordre du Phoenix, suivant ses nombreux amis de toujours, se remettant dans le droit chemin, prenant un boulot de bibliothécaire à Poudlard, adjointe de Mme Pince. L'une était dans le camps du bien et l'autre dans le camps du mal. Ce n'était que bien trop compliqué de s'aimer ainsi alors que l'on se devait de se faire la guerre.

-Tu sais que c'est bien plus compliqué que cela. Tu le sais, hein, commença Phoebe, Si l'on reste ensemble, que vont dire les autres ?

Bellatrix attendait que sa petite amie continue, que celle qu'elle aimait de tout son cœur lui révèle ce qu'elle avait en tête, qu'elle lui parle.

-Que va-t-il nous arriver ? Tu es dans le camps qui me pourchasse sans arrêt, moi et les autres, les sangs-mêlées, les nées moldues et autres variétés de personnes qui t'insupporte et que tu tue. Tu es dans le camps qui tue sans vergogne sans même éprouver une once de compassion, en aimant faire cela. Je ne peux que ne pas apprécier ceci, je ne peux que vouloir que tu quitte mon monde et que tu te promène dans le tien, répliqua la jeune femme au cheveux roux.

L'autre plongea son regard dans celui de sa petite amie, celle qu'elle avait aidé, celle qui l'avait suivie et qui l'avait regretter. Bellatrix ne paraissait pas s'énerver de cette nouvelle phrase sortant de la bouche de la seule femme qu'elle ait aimé de cet amour, de la seule personne qu'elle aimait comme cela, la seule personne qu'elle aimait embrasser et câliner, la seule personne qu'elle ne voudrait jamais perdre.

-Je ne peux que vouloir te quitter à chaque minute de notre relation. Relation que j'apprécie, que j'adore...Mais que je méprise sur ce point. Relation si belle, si jolie mais qui ne peut continuer. Tu le vois bien, j'imagine, que notre relation si nous continuons nos activités extérieures ne pourra que se détruire de jour en jour. Je te crierait dessus parce que j'aurais entendue que tu aurais fait une nouvelle victime de mon camps, de l'ordre ou des aurors, et tu me feras pareil lorsque j'enfermerai ou tuerais un des tiens. Je ne veux pas qu'on se dispute sur cela, lança la rousse d'une traite tandis que la brune la regardait dans les yeux.

Il y eut un long silence. Après tout, Bellatrix ne savait pas quoi répondre et ne savait même pas si ce que Phoebe voulait dire était terminé.

-Je ne veux garder en mémoire que les bons moments avec toi. Je ne veux que te voir comme la femme aimée, celle avec qui j'aurais voulue élever l'enfant qui est le tiens. Mais je ne peux que le vouloir, pas le faire, pas si tu es une telle meurtrière, pas si l'on doit se faire la guerre. Pas en ce temps, pas pendant cette guerre, répliqua enfin Phoebe, cherchant le mieux possible les mots qui décrivait la situation et qui devait faire comprendre à Bellatrix que cela devait être finit, Mais je t'aime, je t'aime comme tu m'aimes, je t'aime comme avant, comme à l'école lorsqu'il n'y avait pas de camps, lorsque l'on ne se faisait pas la guerre, lorsque l'amour était ce qui importait le plus les jeunes adolescents.

Entre un fou et un ange •☆• l.lovegoodOù les histoires vivent. Découvrez maintenant