FFF: Protection rapproché

Chapitre 1

PDV Leila

J'était en train de marcher tranquillement pour allez au boulot comme tout les matin quand tout d'un coup j'entendit des personnes crier, ces cries venait du stade de France qui était sur mon chemin. Je me dépêche d'y allez pour voir ce qu'il se passe. Des gars de la sécurité me stoppent.

-Je suis désolé madame mais vous n'avez pas le droit de rentrez, en plus nous avons un petit problème.

-Je suis policière (je montre ma plaque) j'ai entendue des cries ici et je veux savoir ce que c'est !

Les gars se regardent et un d'entre eux dit.

-Vous pouvez y allez on ne sait pas exactement ce qu'il ce passe tout ce qu'on sait c'est qu'une personne c'est introduit dans le stade avec un arme.

En entendant ça je me dépêche d'allez sur le terrain pour voir si tout le monde vas bien. En arrivant ce que je voix me laisse sans voix, un homme est en train de menacer un gardien, Hugo Lloris je crois. Je ne réfléchis pas et cours vers eux en sortant mon pistolet, tout les regards sont braqué sur eux, en me rapprochant je vois que cette homme ne rigoles pas. J'arrive a quelques mettre d'eux et lui crie.

-PLOCIE POSE TON ARME ET ELOIGNE TOI DE LUI DOUCEMENT !

A présent tout les regards sont braqué sur moi surement étonné de me voir. Il me réponds avec beaucoup d'agressivité.

-TOI POSSE TON FLINGUE OU JE LE DESSENT !

On pouvait très bien voir qu'il ne rigolait pas, je regardait le gardien et je pouvait voir qu'il était stresser et qu'il avait peur, ce qu'il peux se comprendre. Je sert mon arme dans ma main je lui répond plus calmement cette fois .

-Tu vas poser ton flingue et mettre ton cul par terre, C'EST COMPRIT !

-Même pas en rêve con**se !

Alors là il m'a bien chauffer en une fraction de seconde on entant une détonation et ma balle par se loger  dans le poignet de mon ennemie, il lâche son arme et le joueur en même temps pour se tordre de douleurs au sol, je cours vers lui pour le mettre au sol avant qu'il se relève. 

-Bravo t'as réussis a me mettre de mauvaise humeur alors qu'on est que le matin, tu a le droit de garder le silence si t'en veux pas une autre dans ta tronche de cake cette fois.

Je lui passe les menottes et des gars de la sécurités, qui au passage font assez mal leurs travaille, l'embarque je ne sais où. Je range mon flingue et commence a marcher pour allez au travail car je suis assez en retards mais le destins en a décidé autrement car a peine quelque pas de fais que quelqu'un m'attrape le bras et comme j'ai de bon réflexe je me retourne rapidement et retourne la personne pour que je sois derrière lui et que sont bras soit bloqué, mais quand je vois qui se tient devant moi je le lâche immédiatement, cette personne n'est que Hugo Lloris.

-Je suis désolé c'est un réflexe. dis-je calmement 

-Ce n'est rien on voulait juste vous remercier ci vous n'étiez pas là on sait pas si on serait encore vivant.(toute l'équipe est derrière lui)

-Ce n'est rien c'est mon métier, maintenant désolé mais je suis déjà bien en retard a mon boulot, je doit y allez.

Et je partit sous les regards de toute les personnes présente sur le stade.