L'animale ~Denki x oc mâle~

21: Il ment

Moi: comment tu veux que je te prenne pour une personne de confiance si tu me mens ?

Denki resta silencieux quelques secondes, en regardant mes mains tâchées de sang.

Moi: t'as failli te faire encore une fois violer et tu me dis que tout va bien ?

Denki: bah... Je... Enfin...

Moi: j'avoue avoir fais de la merde depuis que je suis arrivé, et je m'en suis rendu compte, j'en suis pas fier... Mai maintenant dis moi, parce que sinon je crois que je pourrais pas faire grand chose pour toi...

Denki: nan mais...

Moi: "mais" je suis sûr que tu n'as pas que le problème avec Zan.

Denki: comment tu pourrais le savoir ? Tu t'en ai rendu compte dans une soudaine prise de conscience ?

Moi: tu es triste. T'as envie de tout arrêter et tu pleures seul pour que personne ne te poses de questions ou ne s'inquiète pour toi. Chuis peut être un connard mais je suis surtout un loup. Je ressens tes émotions et ce matin j'ai vue que tu avais pleuré, tu avais encore les joues mouillées et les yeux rouges.

Denki: heu...

Moi: donc c'est pour ça que tu es réveillé si tôt ? Pour-

Denki: c'est faux ! C'est totalement faux ! Je ne me lève pas si tôt pour pleurer !

Moi: calme toi, et je resterais calme avec toi en retour. J'ai dis que j'arrêtais d'être un connard et je resterais avec toi pour-

Denki: arrête s'il te plaît... J'ai compris que tu allais "me protéger", mai laisse moi rentrer chez moi, je suis fatigué...

Moi: ...

Denki: merci et bonne nuit Zack...

Denki partit le mains dans les poches en regardant le sol, je resta là pendant cinq bonnes minutes avant de rentrer aussi chez moi.

Une fois à la maison, je vais directement à la salle de bain pour me laver.

Pendant la douche, je laissais couler l'eau bouillante sur mon dos. Je ne m'étais même pas rendu compte à quel point l'eau était chaude, j'avais un les avant bras contre le mur de la douche et mon front contre mes bras.

Un moment, je reprend mes esprits et je me retiens d'hurler de douleur. Je coupe l'eau, les oreilles penchées en arrière et une grimace de douleur sur le visage.

Moi: putain de merde !

Je sortis de la douche et je regarda dans le miroir le bas de mon dos qui était rouge pétant. Ça commençait même à saigner.

Je couvre le bas de mon ventre de bandages, avant d'accrocher une serviette autour de ma taille et de sortir de la salle de bain.

Papa me vit et fronça les sourcils en croisant les bras.

Papa: ne me dis pas que tu t'es encore brûlé le bas du dos avec de l'eau...

Moi: j'étais perdu dans mes pensées c'est tout...

Papa: c'est déjà la troisième fois en deux mois, c'est pour qu'elle raison cette fois que tu t'es perdus dans tes pensées ? T'étais "fatigué" ?

Moi: nah... Bon tu me laisse aller dans le chambre ou je suis sensé rester à poils sous une serviette, à t'écouter me poser mille et une questions...

Papa: *soupir avant de partir*

Je vais dans ma chambre et je met un caleçon et un short.

Mon téléphone sonna ensuite, c'était le chiwawa. Je décrocha le téléphone, en m'asseyant sur mon lit.

Moi: salut petit chiwawa.

Katsuki: salut, ça va pas ?

Moi: si si on peut dire que ça va, pourquoi tu m'appelles ?

Katsuki: pour savoir comment t'allais, parce qu'on s'est pas parlé de la journée.

Moi: oui c'est vrai on s'est pas vraiment parlé, je restais avec Denki au cas où Zan reviendrais le faire chier.

Katsuki: il ne sait pas se défendre ?

Moi: face à Zan, il peut pas faire grand chose.

Katsuki: c'est vrai, il a le même alter que ton père.

Moi: et en plus niveau musculaire, Zan est plus développé que Denki.

Katsuki: mh... Ça va tes chaleurs ?

Moi: je réussi à me retenir, mais j'ai envie de baiser...

Katsuki: mh... Tu... Tu veux venir chez moi ?

Moi: de toute façon j'allais dire que soit tu viens chez moi, soit je viens chez toi, donc j'arrive.

Je raccrocha le téléphone avant d'enfiler un pull, d'embarquer quelques capotes et de verrouiller la porte de ma chambre. Je sors par la fenêtre et je me dirige vers la maison du chiwawa.

Je vois une fenêtre ouverte, je saute et je m'accroche au rebord, pour voir si c'est la chambre de chiwawa. Et c'est bien la sienne.

J'entra et je le vis entrain de verrouiller la porte de sa chambre.

Je décide de doucement m'avancer avant de le chopper ses poignets d'une main et les plaquer au dessus de sa tête. Ma seconde main vint se loger sur sa hanche.

Katsuki: tu pourrais prévenir quand tu es là.

Moi: je suis là donc... C'est partie.

Je le porta de façon à se qu'il enroulé ses jambes autour de ma taille. Il pose ses bras sur mes épaules et me mains se loge sous ses cuisses.

PDV de Aizawa