monstre

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Tu rentra chez toi les larmes au yeux
"Tu n'est qu'un monstre !" Ces mots resonnais encore dans ta tête. Tu voulais mourir,après tout si la personne que tu aime le plus venais de dire que tu était un monstre. Tu ouvris la porte et ta chère tante était là.
T-qu'est ce que tu fous la Laurence ?!
L-Tu n'est pas contente de me voir ? Je venais te faire un petit coucou.
T-Cool,coucou maintenant casse toi.
Elle pris ses affaires te regarda et partie énervé.
L-je ne t'ai pas élevé comme ça !
T-Tu ne m'a pas élevé dutout. T'etait en taul pendant 7 ans qu'est ce que tu me baraguouine.
Elle partie en claquent la porte. Tu alla à la douche et tu partie te coucher car même si il était 18h tu était crevée.
Vers 23h ton tel sonna ,tu te reveilla
T-mais c qui ptn.. dit tu d'une voix fatiguée, tu décrocha

T-All...
?-Vas chez Carl !
T-euh ok mais pou..
Bip,Bip,Bip
T-Il a raccrocher tss,bon jme leve.
Tu te leva ,t'habilla ,jogging. Sotf on s'en fou quoi. Ferma la porte a clé et alla chez Carl.Tu ouvre la porte.
T-Pourquoi tu m'a appelé.
Tu vis Carl attaché et Bam trou noir.
Tu te reveilla à côté de Carl.
T-C'est quoi ce bordel
C-Ferme ta gueule
T-Dit c'est quoi
C-Des anciens amis. Jleurs dois de l'argent, et ton ex est avec eux. Il te veux.
T-Bah non.
Tu vis Milker
M-Coucou ma puce ,cv la vie sans moi ?
T-espece d'enc..
M-Garde tes mots sale conne
Il degaina un couteau et l'a mettant sur ton bras.
M-Si je te rajoute juste une petite cicatrices ça se verra pas avec celle que tu as déjà hyn.
C-Laisse la fils de pute !
On lui donna un coup de pied.
M-Maintenant que tu est la je vais te garder. Pour toujours.
T-Non vraiment pas t'as craqué.
Il te pris par les cheveux et t'emmena en haut dans une des chambres.
Il te frappa. De plus en plus fort.
M-Ça t'avais manqué.Cette fois tu peux pas te défendre.
T-Arrete.. dit tu la voix tremblante par les pleures
Il te déshabilla.
T-Non Milker s'il te plaît..
Il toucha ta poitrine
M-ça m'avais manqué.
Il te retourne et faisa son affaire tout en te frappant
M-Ça te plaît sale pute
Il pris le couteau qu'il avais puis l'enfonça petit à petit en gravant un M
Tu hurla de douleur.Il continua son affaire quand d'un coup..

je te déteste mais je t'aimeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant