chapitre 45

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Je suis revenue avec la trousse de soin ben saignait toujours autant, j'ai désinfecté sa plaie et je lui ai fait un bandage, il avait encore du sang par terre je voulais aller chercher de quoi nettoyer quand j'ai vu Djamila dans les escaliers entrain de nous regardé...

Djamila : qui est blessé ? C'est papa?

Moi : oui ma chérie

Djamila : comment ?

Moi : c'est une longue histoire

Ben : c'est lalia qui m'a fait sa t'a vu comment elle est méchante

Je lui ai lancer un regard noir

Ben : me regarde pas comme sa elle à le droit de savoir que t'es une psychopathe non ?

Moi : a quoi tu joue ?

Ben : à rien je lui montre juste ta nature

Djamila : c'est toi qui l'a blessé ? T'es une baisé en faite tu veux tué mon papa

Ben : Djamila parle bien

Elle : non non non taisez-vous je vie avec des fou toi papa ya même pas une semaine ta tout casser dans la maison et toi mam... Lalia tu veux tué mon papa on peut être tranquille ici en faite vous êtes des con voilà

Moi : EHH QUI TA APPRIS A PARLÉ COMME ÇA TOI AZY MONTE DANS TA CHAMBRE SALE GAMINE

Lui : d'où tu traite ma fille de sale gamine toi ?

Moi : ta vu comment elle parle elle n'a que 7 ans putain

Lui : et de quoi tu te mêle ? Depuis tout à l'heure j'essaie de me contrôler tu m'a déchirée le bras avec ton putain de couteau j'ai rien dit et là tu traite ma fille de sale gamine mais ta trop pris la confiance toi je vais te niquer ta race si tu lui parles encore comme sa

Moi : si pour toi c'est normal bah pour moi sa l'ai pas je permettrai pas a ma fille de parler comme sa

Lui : mais de quelle fille tu parles, ta une fille où toi ? Arrête de dire que c'est ta fille t'es personnes pour elle tu peux comprendre sa sa mère c'est Maëva toi t'es rien du tout pour elle, t'es rien pour nous

Moi : azy ferme ta gueule

Lui : t'a dit quoi ?

Moi : J'AI DIT FERME TA GUEULE

Il m'a saisi violement avec ses mains il me serrait le bras j'avais mal

Moi : LÂCHE MOI BEN TU ME FAIT MAL

Il m'a encore plus serré le bras la douleurs devenait de plus en plus insupportable

Lui : écoute moi bien je vais plus me répéter tu va arrêter de te mêler de ma vie et de celle de ma fille, tu va te concentrer sur ta vie a toi, et si tu t'avise de faire le contraire de ce que je dis je deviendrai l'un de tes plus gros problème

Moi : tu l'ai déjà sale enculer

Il m'a mis une droite qui m'a faire tomber par terre

Djamila : PAPA POURQUOI TU LA FRAPPÉ ?

J'avais pas remarqué quel était encore là, je voulais pas quelle assiste à sa

Ben : PUTAIN

Il s'est mis à tout casser, mais pourquoi il est en colère comme sa il peut même pas faire un effort pour sa fille

Moi : MAIS C'EST QUOI TON PROBLÈME ?

lui : C'EST TOI MON PROBLÈME LALIA TOI

Il a pris ses clés de voiture et il est sortir , Djamila était encore dans les escaliers elle était sous le choc et elle s'est mise à pleurer, je me suis approché d'elle et je l'est prise dans mes bras

Djamila : pourquoi il est comme sa ? Il me fait peur

Moi : non faut pas avoir peur il te fera jamais de Mal

Elle : mais il ta frappé

Moi : hum, AZY monte dans ta chambre s'il te plaît

Elle s'exécute, je reste assise dans les escaliers quelques minutes avant de me mettre à nettoyer les dégâts que ben a causé, son attitude devient insupportable, il fait peur a sa fille il me fait peur a moi aussi je sais pas c'est quoi son problème mais sa doit changer

Pov de ben

Sa fait près d'une heure que je suis assise dans ma voiture, avec un join en main, je fume très rarement, mais là j'en ai besoin je fais n'importe quoi même moi je me comprends plus, le pire c'est que mon comportement affecte ma fille je le vois bien, je sais pas ce qui m'arrive pourquoi je suis si en colère, j'étais dans mes pensées quand j'ai reçu un appel de Malick

Moi : ouais

Malick : t'es a la maison ?

Moi : non

Malick : t'es où ?

Moi : dans ma voiture

Malick : passe chez moi il faut qu'on parle

Moi : je suis pas d'humeur

Malick : c'était pas une question me force pas à venir te chercher

Il a raccroché je sais pas de quoi il veut me parler mais ce que je sais c'est que c'est pas le moment





chronique de lalia : Je Le Hais De Tout Mon Cœur  Où les histoires vivent. Découvrez maintenant