Manipulé

Chapitre sans titre 7

Une foie sur scène une nausée lui était venue mais un regard discret ver l'ébène l'avait complètement détendue et ça confiance en lui était revenue en quelques secondes ainsi que sont sentiment de supériorité en temps que premier fatui, son aura avait changer d'un seule coup pour devenir puissante et menaçante, se sentiment de supériorité le mettait autant mal que bien. Une foie qu'on lui avait donner la manteaux du premier exécuteur ils parlèrent une bonne heur avec les autres haut placées, tout le monde fêtait ça mais pour lui ce n'était qu'une simple occasion pour boire et ça mettait mal le bleuté, un grand banquet avait été mis en place en l'honneur du bleu ils avait tous manger avec faim, même le bleu en avait profité et c'était lâcher sur la nourriture pour une foie. Ils retournèrent finalement au manoir de l'ébène un heure plus tard et dormirent tout les deux entrelacé comme a leurs habitude, tout se stresse accumuler avait fatiguer autant l'un que l'autre, le sommeil ne fut tout de même pas de tout repos pour le bleu qui faisait souvent des terreurs nocturnes, a part ça, c'est traumas revenait également souvent le frapper dans ces rêves, même s'il allait beaucoup mieux c'est heures de sommeil n'était tout de même pas revenu alors il passait généralement 3 voir 4 heures a dormir par nuit, ce qui était encor plus troublant c'est qu'il s'y était habituer et ne ressentait même plus la fatigue qu'il ressentait il y a 5 ans. Et ce fut seulement quelques minutes plus tard qu'un cris retentis suivit de prés par le réveil affoler de Pantalone, celui ci ne fut dahieur pas surpris de voir Dottore en panique juste a coté de lui. Il fallait s'y attendre vue les événement passer de la journée, ça devait tellement l'avoir stresser qu'il cogiter surement encor de ce qu'il aurait put faire de bien ou de mauvais sur scène. L'ébène pris délicatement les bleu dans ces bras, une étreinte qui fit frissonner autent l'un que l'autre.

-Chute je suis la ne t'en fait pas... Je ne partirait pas 

Chuchota l'ébène au creux de l'oreille du jeune docteur, le calmer avait été compliquer mais ce fut au bout de quelque dizaines de minutes que le docteur c'était calmer heureusement quel l'ébène avait pris le technique pour la calmer. Sont souffle c'était calmer et son coeur battait tellement moin fort, l'entendre a ce rythme cela lui faisait chaud au coeur.

-Ça va mieux a ce que je vois... Tu veux en parler?

-Non pas plus que ça jai juste faut un mauvais rêve

-Ce n'est pas juste un movais rêve tu en a fait une crise de panique c'est pas pour rien

-Mais je fait que des crises pour rien et je te dérange en plus, alors que tu dormais en plus o mon dieu perdon désolé

-Mais ne t'inquiètes pas je suis là pour ça on est ami les ami ça sert a ça et heureusement que je suis là tu aurai fait comment si je n'était pas arrivé dans ta vie, je n'aime même pas imaginer. Tu sait tu est une des plus belles choses qui m'est arrivé dans la vie et je ne veux pas que tu pense que tu me dérange car c'est faut, tu ne me dérangera jamais ok? Jamais. Regarde moi dans les yeux s'il te plaît je ne vais rien te faire juste regarde moi

Le bleu hésita un long moment avant de relever les yeux verts l'ébène, celui ci posa dahieur ça main sur une des joues du docteur ce qui ne manqua pas de le faire frissonner. La lampe de chevet était allumé et le couleur tamisée donner un air un peut romantique sur le bord, ce dit le bleu, mais il se força a ne plus y penser et a ce concentrer sur le noireaud qui reprenait sont récit.

-Tu est chez toi ici, parfois je me dit que jais bien fait de te voler ce journale parce que si je ne l'avait pas fait alors on n'en serai pas là aujourd'hui tu sait je t'aime beaucoup et tu ne peut rien y faire même si tu te dit que tu ne vaux pas la peine d'être aimer je t'aime

Le bleu rougi fortement il ne s'attendait absolument pas a ça. Il ne pense pas avoir déjà été aimer autent par une personne dans ça vie ça lui faisait chaud au cœur de savoir qu'il était aimé même si ce n'était pas de la manière dont il aurait voulu il était fier d'être aimer pas une personne aussi sincère que l'ébène. Une larme de joie roula sur ça joue sans qu'il ne puisse rien y faire.

-O mais non ne pleure pas je voulais pas te faire de mal

-Non non c'est pas ça

Il n'oserais sûrement jamais dire que cette larme était une larme de joie mais au fond mêle s'il ne le disait pas a voir haute il savait que le noireaud savait et cela lui dit du bien de pleurer de joie pour une foie dans ça vie