CHAPITRE 7

372 12 13
                                    

Je finis mon verre de Coca Zéro, comme d'habitude, le déposant doucement sur la table deux places

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

Je finis mon verre de Coca Zéro, comme d'habitude, le déposant doucement sur la table deux places.

Tout les deux venons de finir le repas délicieux de cet incroyable restaurant. Steven a sorti le grand jeu, ce restaurant est le plus cher de tout l'île. C'est typiquement le genre d'endroits dans lesquels Nicole et sa bande de copines viennent manger, comme ci c'était la cantine.

Et ce sont les genres de restaurants que je ne peux plus me payer depuis que le travail de mon père s'explose, littéralement, la face par terre.

— Et ta mère ? Tu me parles jamais d'elle. lance Steven en mangeant un bout de son moelleux au chocolat.

Je roule ma langue contre mes dents supérieurs, détournant le regard du brun pour le poser plus loin dans la restaurant.

Personne n'est au courant de la relation que j'entretiens avec ma mère. Personne sauf ma famille.

Tout le monde pense qu'elle part travailler mais revient nous voir tout les mois, qu'elle nous aime et nous chéries.

— Elle travaille en Égypte.

Le brun acquiesce trouvant ça « cool ».

— Si tu le dis. crachai-je, mauvaise.

Steven fronce les sourcils, déconcerté par mon changement d'humeur soudaine alors que l'on avait rigolé tout le dîner.

Il faut dire que Steven et moi avons beaucoup, beaucoup de choses en commun. C'est plutôt drôle.

— Elle revient vous voir souvent toi et ton frère ? continue-t-il.

— Plusieurs fois par mois, ouais.

Lui mentir ne me plaît pas. Mais après tout à la fin du mois de août il rentrera chez lui et nos chemins se sépareront. C'est simplement une relation éphémère.

Comme toute ma vie finalement.

Steven pose sa cuillère dans son plat maintenant vide.

— Ok, tu me mens. déclare-t-il, sur de lui.

— Quoi ? Non.

— Sale mytho. rigole-t-il. Tu lèves le sourcil droit quand tu mens Brook.

Il montre mon sourcil du doigt.

— Putain comment tu sais ça ? marmonnai-je en balayant son doigt du revers de la main.

— Brook, pourquoi tu me mens ?

𝐒𝐔𝐌𝐌𝐄𝐑 𝐋𝐎𝐕𝐄, 𝐬𝐭𝐞𝐯𝐞𝐧 𝐜𝐨𝐧𝐤𝐥𝐢𝐧Où les histoires vivent. Découvrez maintenant