La Fièvre du pouvoir

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À la maison de la plantation, un petit-déjeuner élaboré a été préparé dans la salle à manger.

Rebekah et Klaus sont assis l'un en face de l'autre à la table pleine de fruits et de pâtisseries.

Jezebel est à côté de Klaus.

Une jeune femme se tient près de la chaise de Klaus alors qu'il lui mord le poignet et se nourrit d'elle.

Rebekah, une tasse à la main, le regarde en levant les yeux au ciel.

Klaus se lève et se sert un verre de sang au poignet de la jeune fille.

Klaus : As-tu parlé à notre ami aujourd'hui ?

Rebekah : Non. J'aurais dû ?

Klaus : Je le trouve mystérieusement distant. On dirait qu'il m'évite. Je me suis dit que peut-être il t'avait expliqué les raisons de son silence. Alors qu'il te chuchotait des mots doux au creux de l'oreille.

Il la regarde en souriant.

Il pose son verre et laisse la fille partir.

Rebekah : Si je le vois, je lui demanderai s'il est toujours fâché contre toi.

Klaus et Rebekah se regardent.

Klaus se rassoit à sa place.

Klaus : Laisse-moi dire tout haut ce que tu penses tout bas.

Il commence à se moquer d'elle.

Klaus : "Mon vertueux et honorable frère se tord de douleur dans le Bayou, victime de la morsure du bâtard. Dire qu'il suffirait d'une goutte de son sang pour soulager sa douleur facilement."

Rebekah : Non, tu as tout faux

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Rebekah : Non, tu as tout faux. Je prends tranquillement mon petit-dej, en attendant le retour d'Elijah.

Klaus se penche vers elle.

Klaus : Oh, je ne vais pas gober ça.

Il pointe Rebekah du doigt.

Klaus : Tu as passé la matinée à me lancer des regards noirs. Alors, vide ton sac.

Rebekah : Eh bien, peut-être que j'ai la trouille. Si je te donnais mon opinion sur ce que tu as fait, je risquerais de me retrouver entre tes crocs toxiques d'Hybride.

Klaus tape la table et pointe Rebekah du doigt, blessé.

Klaus : N'importe quoi. Je ne te ferai jamais ça.

Rebekah sourit et lève les yeux au ciel en buvant sa tasse.

Klaus : Elijah a proféré des accusations très graves concernant mes intentions envers mon enfant. Alors, s'il souffre un jour ou deux, c'est mérité. De plus, tu sais pertinemment que ma punition préférée quand il s'agit de toi, c'est la dague.

Il la regarde, sérieux.

Rebekah sourit.

Klaus la regarde et plisse les yeux, méfiant.

JezebelOù les histoires vivent. Découvrez maintenant