Akako Sato, passionnée de piano joue souvent dans la salle de musique de sa fac. C'est une fille douce, elle n'aime pas se faire remarquer, elle est invisible aux yeux de tous, sauf quand elle joue du piano.
Ran Haitani, membre d'un gang, le Tenjik...
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Quelques jours c'étaient écoulés sans Akako ne sorte de chez elle, peur de se faire suivre ou pire. Elle était donc pour la plupart du temps dans son canapé, regardant les cours sur internet ou faire de la musique. Ran et Rindo avaient tout deux essayé de la contacter mais en vain. Cette dernière ne voulait pas répondre.
Aujourd'hui fut une journée comme un autre depuis qu'Akako ne sort plus. Mais pendant qu'elle était sous la douche, la sonnette de son appartement retentit. Se precipitant vers sa porte d'entrée, vêtue seulement d'une serviette cachant son corps encore mouillé de la douche, elle aperçue Ran de l'autre côté.
- Pourquoi t'es venue jusqu'ici ? Demanda Akako tout en ouvrant la porte. - Je voulais prendre de tes nouvelles, tu n'es pas revenue à la fac depuis l'incident et tu réponds pas à mes textos. Dit son interlocuteur, passant son regard de haut en bas, admirant les faibles formes qui se cachait sous la serviette.
Remarquant son regard instant, Akako fit entrée le jumeau, et elle partie s'habiller convenablement pour recevoir quelqu'un. En revenant, Ran était à moitié nu, allongé sur le canapé, somnolant devant l'émission qui passait. Akako admira également les abdos du tressé. En effet, Akako n'étant pas du genre amour ou autre elle n'avait jamais vu un homme torse nu chez elle. Son visage se teinta de rouge, excité par la vue mais en même temps gênée par la situation. Elle détourna le regard avant qu'il ne l'aperçoive le regardait. - Tu pourrais au moins faire un effort et garder ton teeshirt. Dit-elle sans le regarder, le temps de calmer ses rougeurs - Non, c'est mieux comme ça, en plus il fait bon chez toi. Souria-t-il imaginant la tête de sa voisine. Enfin bref, reprit-il sur un ton sérieux, et vis ta vie normalement. Avec mon frangin on est sur le coup, il ne t'arrivera rien, crois moi. Tu baissa la tête, toujours peureuse d'avoir des ennuis avec des gens dix fois plus fort que toi. - D'accord, mais je veux que tu me cherches et tu me ramènes tous les jours. Tu me le dois bien. Dit Akako d'un ton tout aussi sérieux que Ran. Qui d'ailleurs ce dernier acquiesça sans aucune hésitation la proposition de notre protagoniste.
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