BILL KAULITZ OU TOM KAULITZ

CHAPITRE 3

*Le lendemain, 1 jours avant la rentrée*

    Je me réveille. Lorélei est à côté de moi dans le lit, dort toujours, elle ronfle même normal il est 9h40 et on est rentré vers 2h00. Je me lève et je vais dans la cusine pour me servir une tasse de café bien corsé. Je prend quelques gorgé du liquide brûlant pour me réveiller. Je décide d'aller dans le salon pour voir si Hanna dors toujours. Je la vois assise sur le canapé, elle est dos à moi. Je pose la tasse sur la table à manger sans faire de bruit et je m'approche d'elle doucement pour pas qu'elle m'entend.

Moi : BOO !

    Elle se retourne brusquement. Ses yeux sont gonflé et rouge. Devant elle il y a plusieurs mouchoirs usagés. Je m'assois à côté d'elle et je la prend dans mes bras sans chercher à comprendre se qui se passe. Au même moment Jhoanna ouvre la porte de la maison et elle entre en chantonnant. Elle tourne le regard vers nous et son sourire s'efface immédiatement.

Jhoanna : Qu'est-ce qui se passe ? Dit-elle en se précipitant vers nous.

   Lorélei nous rejoint après avoir été réveillé par la porte d'entrée qui vient de claquer. On se fait un gros câlin à 4 en attendant que Hanna soit prête pour nous parler de se qui lui arrive. Après une quinzaine de minutes à la réconforter elle se lance enfin.

Hanna : J'ai un truc a vous dire... je déménage cette après midi.

Moi : Tu déménage où ?

Hanna : A Munich...

Lorélei : Écoute Hanna, on sera toujours là pour toi, promis.

Jhoanna : Oui, on viendra te voir pendant les vacances et toi aussi tu viendra nous voir.

Hanna :D'accord, on fait comme ça. Dit-elle en essayant ses yeux mouillé.

Moi : On va t'aider à faire tes cartons, aller tout le monde s'habille, direction la maison d'Hanna.

    On s'habille en vitesse et nous prenons le métro pour aller chez Hanna. Un homme s'approche de nous, il semble avoir la quarantaine et il porte un costard, surment un homme d'affaire.

L'homme : Bonjour les filles, ça vous dirait de gagner beaucoup d'argent très vite.

Jhoanna : Non dégage.

L'homme : Je vais quand même vous proposer mon offre. Vous êtes plus tôt belle et bien formé pour votre jeune âge donc je vous propose de venir avec moi à l'hôtel.

Lorélei : Les vieux c'est pas mon truc.

L'homme : Et 4000 euro c'est ton truc ? Dit-il en montrant l'intérêt de sa sacoche.

Moi : Dégage bordel.

L'homme : J'aime les femmes de caractère, t'es ma préférée toi.

Hanna : Qu'est-ce que tu comprends pas dans le mot "dégage".

    L'homme ne force pas plus et il retourne s'assoir sur son siège. Pendant tout le reste du trajet il ne nous quitte pas une seule seconde des yeux. Nous sommes arrivés a notre arrêt, on sort en courant du métro pour échapper au mec  bizarre. Nous courrons le plus vite possible en direction de chez Hanna. On déboule dans la maison et nous claquons la porte. On s'adosse sur la porte essoufflé tout ça sous le regard interloqué de ses parents.

Maman de Hanna : Qu'est-ce qui se passe les filles. Dit-elle en mettant une lampe de chevet dans un carton.

Hanna : Rien, elles sont juste venus nous aider pour les cartons. Dit-elle en montant les escaliers.

    On dit bonjour au parents de Hanna et nous la rejoignons a l'étage dans sa chambre. On prend chacune un carton et nous commençons à ranger les affaires. Je suis chargé de vider son armoire et de ranger ses vêtements et les objets qui traîne. Jhoanna est chargé d'enlever les photos et les posters sur les murs. Quant à Lorélei et Hanna elles démontent les meubles.