UNDER DON'S PROTECTION

CHAPITRE VI

Chapitre 6

Le lendemain, Violetta est retournée à l'école. La salle de conférence était assez vide étant donné que c'était encore le début de l'année. Elle choisit au hasard une place pour s'asseoir et se prépare pour le cours.

Au fur et à mesure que le conférencier poursuivait son cours, ce n'est que maintenant que certains étudiants arrivaient. Le professeur n'était pas heureux mais laissez-les suivre sa conférence, de toute façon.

« On se rencontre encore une fois. » le même gars d'hier a pris un siège à côté de Violetta.

Violetta lui fit un simple signe de tête et se concentra sur la conférence à nouveau. Elle n'était pas intéressée à avoir une conversation avec lui.

Il s'éclaircit la gorge, « Alors quel est ton nom ?

Arrête de me parler, pensa-t-elle.

« Tu n'as pas besoin de savoir ça, » Violetta l'observa discrètement.

Le jeune homme lui serra le bras avec sa main. Il n'était pas satisfait de son attitude envers lui.

« Lâche moi », dit-elle à voix basse pour ne pas attirer l'attention sur elle.

« Seulement si tu me le dis. » sa poigne se resserra.

Violetta grimaça à la douleur qui traversait son avant-bras. Essayant de s'éloigner de lui, elle a piétiné son pied et éloigna son bras loin de lui.

« Chienne. » elle l'entendit jurer, « Quoi ? Dois-je te payée d'abord ou quelque chose comme ça ?», a-t-il ricané.

Trop choquée pour dire quoi que ce soit en retour, elle s'est levée brusquement, attrapa ses affaires et sortit de la salle de conférence. Elle pouvait se sentir chauffer alors qu'elle marchait la tête baissée. Kévin et Luc la suivit et essayaient de suivre son rythme rapide. Ils n'avaient aucune idée de l'incident qui vient de se produire sous les tables et Violetta ne veut pas qu'ils le sachent non plus.

Ils arrivèrent tous les trois au parking et montèrent la voiture. Violetta pouvait sentir ses yeux piquer, elle avait de plus en plus de mal à s'empêcher de pleurer.

« Est-ce qu'il s'est passé quelque chose, mademoiselle ? » Alex a pris la parole.

« Je ne me sentais pas bien. » elle essaya de cacher la vérité.

Violetta savait que Javier et Alex rapporteraient tout ce qu'elle a dit à Eduardo. Ou du moins, ça ne la surprendrait pas s'ils le faisaient. Il était à près tout toujours chef. Leur loyauté était avec lui. Pas elle. Elle garda cette pensée au fond de sa tête.

Quand elle est arrivée à la maison, elle est allée directement dans sa chambre. Le seul endroit où elle n'avait pas à retenir ses véritables émotions. La douleur physique de son poignet lui faisait mal mais l'insultes à son égard, elle, lui faisait encore plus mal.

Il n'avait fait que de la traitée de salope et même si personne d'autre l'avait entendu, elle l'avait fait. Fort et clair. Violetta savait qu'elle ne devrait pas s'énerver à propos des mots d'un mec qu'elle connaissait à peine, mais elle ne pouvait pas ébranler ce sentiment amer au fond d'elle.

J'aurais dû dire quelque chose en retour, pensées du regret se forma dans sa tête.

Violetta essuya quelques larmes solitaires sur ses joues alors qu'elle était allongée dans son lit. Elle roula sur le côté, tira la couette plus près d'elle et ferma les yeux.

Il n'y avait pas eu beaucoup de fois où Violetta avait été harcelé. Son frère aîné gardait habituellement les gars aux abois. Warren n'était pas quelqu'un qui exprimait ses sentiments, mais il tenait vraiment à sa petite sœur. Adopté ou non, ils étaient de la famille.

Un coup à la porte de sa chambre a réveillé Violetta. Elle s'assit et balança ses jambes sur le bord du lit.

« Oui ?»

Eduardo baissa la poignée de la porte et entra dans sa chambre. « J'ai entendu dire que tu ne te sentais pas bien. »

C'était évident. Ils lui rendent compte, Violetta réfléchit immédiatement.

« Je vais bien, maintenant. » elle évitait le contact visuel et tripotait un fil de son short.

Eduardo s'est approché pour se tenir devant Violetta et a souligné l'ecchymose sur son poignet. « Qu'est-ce que c'est ?»

« Ce n'est rien. »

« Ne me mens pas, » sa mâchoire se serrant alors qu'il parlait.

Violetta repensa à ce qui s'était passé plus tôt rendant sa vision floue. Elle entrouvrit les lèvres pour répondit Eduardo et sentit sa lèvre inférieure trembler. Elle s'est mordue lèvre pour s'empêcher d'exposer ses émotions. «

Qui l'a fait ?» demanda-t-il cette fois.

Violetta releva la tête. Elle ne pouvait pas le lire. Ce n'était pas clair pour elle s'il était en colère, triste, amusé ou indifférent à la situation.

« Je ne connais pas son nom. »

Eduardo soupira et quitta sa chambre. Violetta sortit de son lit et se dirigea vers la porte pour la fermée complètement. Avant qu'elle ne le puisse, Eduardo avait déjà reviens avec de la pommade.

« Donne-moi ta main. » Violetta s'exécuta et Eduardo appliqua une pommade sur son bleu. Il y avait une chose dont Violetta était sûre, elle ne pourrait jamais s'habituer à son imprévisibilité.

« Pourquoi ne l'as-tu pas traité plus tôt, » grommela-t-il.

Violetta leva assez faiblement les épaules.

« Serais-tu capable de le désigner si tu le voyais ?» Violetta lui répondit d'un lent hochement de tête et marmonna-t-il, « Bien. »

Violetta laissa tomber son bras à côté d'elle quand Eduardo a été fait. Elle saisit rapidement son bras lorsqu'elle le vit se retourner pour partir.

« Merci, » dit-elle de sa voix douce et lâcha lui.

Eduardo est sorti de la maison et a repéré Alex et Kévin. Il leur fit signe de venir. Les deux les hommes déglutirent en s'approchant de leur patron.

« Don, » Alex et Javier le saluèrent.

« Je pensais que vous deux étiez censés protéger Violetta. » les deux hommes pouvaient l'entendre dans sa voix qu'il n'était pas content.

Comme Javier et Alex n'ont pas vu l'incident, ils n'avaient aucune idée de ce dont parlait Eduardo. La seule chose ils étaient au courant de la mauvaise humeur du Don.

« Demain, elle va pointer du doigt un mec et vous deux Je veillerai à ce qu'il commence à utiliser son cerveau. »

Tandis que Alex se contentait de hocher la tête, Javier demanda ce qu'ils devraient faire si le jeune homme ne voulait pas travailler avec eux.

« Je vous laisse faire, mais une simple menace devrait être assez. »