Enamorados [ Carlos Sainz Jr. ]

9, Cadeau

- Au fait, j'ai un petit cadeau pour toi. Dit l'espagnol tout gêné alors qu'elle le regardait d'une façon qui le faisait littéralement fondre.

- Oh non il fallait pas ! Dit-elle avec un grand sourire aux lèvres.

- C'est pas grand chose... Ajouta-t-elle quand elle ouvrait le petit paquet avec soin.

À l'intérieur, elle y découvrit un collier avec un pendentif. Ce n'était qu'un simple C à première vu mais pour elle s'était une immense attention rien qu'il est pensé à son anniversaire, alors un cadeau aussi beau comme celui-ci ne fit qu'augmenter son sourire. Elle fit rapidement le tour du bar et prit avec un peu de retenu et de gêne le pilote dans ses bras en le remerciant.

- Il est sublime, merci beaucoup Carlos. Lui dit-elle à l'oreille pour qu'il puisse entendre malgré le bruit. Tu peux me l'attacher s'il te plaît ? Il acquiesça et tandis qu'elle se retourna et souleva ses cheveux.

Au moment où les mains douces de Carlos frôlèrent la peau de la brune, tout les deux sentirent un léger frisson. Il ferma le collier maintenant autour du cou de la jeune femme, il était à la taille parfaite et sublimait le coup et le décolleté de l'espagnole. Il releva rapidement les yeux ne voulant pas créé de gêne en faisant penser qu'il regarde la poitrine de Camila.

- Il est vraiment magnifique Carlos, je l'adore. Tout les deux se regardaient avec un sourire niai au possible mais elle cassa leur contact visuel en déposant un léger baiser sur la joue du pilote. Intérieurement son cerveau se déconnecta, son sourire s'agrandit de plus belle, son cœur s'emballa follement.

- J'aurai aimé fêter un peu mieux que ça ton anniversaire. Avoua-t-il sans lâcher les yeux marrons de sa favorite.

- Moi aussi... Elle, par contre, elle baissa les yeux. Elle aurait aimé faire la fête ou aller manger dans un bon restaurant pour l'occasion mais au lieu de ça elle travaillait. Je suis désolé je peux pas prendre de pause très longtemps. Elle devait se rappeler à l'ordre car si elle écoutait son cœur elle aurait déjà laissé son tablier pour profiter de cette soirée avec Carlos.

Alors qu'elle allait se diriger vers le derrière du bar, le père d'Estela, Luis était là. Habituellement, il était dans son bureau à s'occuper des factures et d'un tas d'autres choses administratifs en tout genre. Si il descendait dans le club c'est que c'était important. Il prit Camila à part dans la petite salle de pause des employés.

- Bon écoute Camila, c'est ton anniversaire en plus Estela m'a expliqué qui était ce jeune homme pour toi donc tu lache tout de suite ce tablier et tu fonce profiter de ta jeunesse. Le petit moustachu ria légèrement quand il vit les yeux de la jeune femme s'éclaircir de joie.

- C'est vrai ? Il fit oui de la tête. Oh merci c'est tellement gentil ! Elle lui sauta dans les bras et alla laisser ses affaires dans son casier.

- Bonne soirée ma belle ! Dit celui qu'elle considérait depuis des années comme un deuxième père.

- Merci toi aussi ! S'exclama-t-elle en allant prévenir l'espagnol de la nouvelle.

Aussitôt fait Carlos lui proposa d'aller manger quelques parts mais au vu de l'heure plus grand chose n'étira ouvert. Alors il eu une solution de retrait.

- Je sais que c'est pas la meilleure chose pour ton anniversaire mais je connais un petit restaurant qui fait les livraisons à cette heure là, on pourrait commander et aller manger chez moi ? Elle accepta avec joie, pour elle ça lui suffisait amplement. Elle ne demandait rien de plus que de passer un bon moment et un moment avec Carlos était forcément un bon moment.

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Les deux jeunes partirent du club et montèrent dans la voiture de monsieur. Camila était toute gênée et avait horriblement peur d'abimé la belle Ferrari. Elle se recroquevilla limite sur son siège comme si s'asseoir dessus allait un peu trop l'user. Carlos trouvait plutôt mignon son attitude et il en ria légèrement.

Arrivés devant le restaurant ils récupèrent leurs commandes après une dizaine de minutes d'attente qu'ils passèrent à discuter. Ils se dirigèrent à présent vers le domicile du pilote, ils avancèrent dans les beaux quartiers de Madrid. Plus les belles et gigantesques maisons défilaient devant les yeux de la brune plus elle se sentait comme une intruse. Elle qui avait grandit dans un milieu modeste même voir des fois pauvre, elle qui n'avait jamais mit les pieds ici était plus vraiment sûre de vouloir voir la maison de l'homme à côté d'elle. Ils n'étaient pas du même monde.