◇ Le peuple dragon ♧ 『 BxB 』

◇ volet 5 ♧

Iwenn avait effectivement constater que le nombre de tâches donné a Svarting avait diminuées. Cela faisait une semaine que ses journées étaient rythmées par des tâches du quotidien comme allait chercher du bois pour pouvoir alimenter la cheminée qu'il y avait dans ses appartements, nettoyé cette dernière, mettre des rideaux et des draps plus épais. Dans tout ça, Iwenn l'aider un peu, mais surtout stressé, demain, il allait devoir commencer à s'entrainer avec les nouvelles recrues. Il était à la fois content et angoisser à cette idée, il était contant de voir quand n'à peine deux semaines les dragons lui faisait déjà un tant soit peu confiance, mais a la foi, il ne voulait pas quitter le confort de la protection de Svarting même si elle n'était s'insère étant donné que c'était un ordre du roi. 
Cela faisait maintenant une bonne heure qu'il était assis sur son lit, emmitoufler dans une couverture, a fixé le vide et à se triturer les doigts en pansant à sa journée de demain.
Svarting voyant cette scène se dérouler devant ses yeux, fini par poser le livre qu'il avait dans les mains et prit la parole.

- Quesqu'il y a encore ?, dit-il tandis qu'il levait les yeux au ciel en soupirant, il s'était assis sur le bord de son lit et observer attentivement le roux.

- Je ne peux pas, je vais me faire tuer, réussit à articuler l'humain avant de fondre en larmes.

Son cerveau avait cessé d'être rationnel et avait laissé par au stress et a la peur du lendemain. Son corps se retrouva alors en pilotage automatique, n'étant plus maître de ses mouvements, son subconscient le poussât à se lever et se diriger vers Svarting. Une fois devant ce dernier, il tomba à genoux, toujours en pleure et essayât de formuler une phrase compréhensible.

- S'i – s'il te plait, je t'en supplie, je ne veux pas aller là-bas, je vais me faire tuer si tu n'es pas là pour me protéger, prononçât le roux en serrant la jambe gauche de Svarting contre sa joue droite.

Le noiraud regardait le roux en fronçant légèrement les sourcils, il avait beau essayer de ne laisser transparaître aucune émotions, on pouvait voir dans ses yeux de l'inquiétude mélanger à de l'hésitation. Il ne savait pas qu'elle était la réaction qu'il devait avoir, souvent quand on devenait garde royal, on devait mettre de côté ses émotions, à cause de ça il avait peu à peu perdu certains réflexes naturels comme savoir réconforter quelqu'un. Mais, en voyant l'humain pleurer à chaudes larmes devant lui, il replongea dans ses souvenirs d'enfance, tentant tant bien que mal de se remémorer comment sa mère faisait pour le réconforter. Il fronça un peu plus les sourcils quand ses souvenirs refirent surface. Il se rappelait des grandes ailes noires de sa mère se posaient sur son dos formant ainsi un cocon autour d'eux, il se rappelait aussi des délicieuses tartes qu'elle lui faisait quand il n'avait pas le moral. Réfléchissant rapidement aux deux solutions qui s'offraient à lui, il opta pour la première se rappelant ses compétences inexistantes en cuisine.
Il se leva et décrocha précautionneusement Iwenn de sa jambe, passa ses mains sous ses épaules, l'humain étant étonnement léger, il n'eu aucun mal à le porter à bout de bras pour le poser sur son lit. Le roux était assis en tailleur, les coudes posés sur ses genoux et les paumes de ses mains posées sur ses yeux, quelques gouttes d'eau salé tombées régulièrement sur les draps blancs du noiraud formant ainsi quelques tâches humides. Le garde royal s'assit en face de lui, lui aussi en tailleur, il posa sa tête contre celle de son homologue, quelques boucles rousses de ce dernier passèrent au-dessus de ses cornes rouges bourgognes. Svarting déploya ses ailes de couleur similaire à celle de ses cornes. Il les posa prudemment contre le dos d'Iwenn, ce dernier s'arrêta brusquement de respirer ne s'attendant pas à un tel contacte. Il releva brusquement la tête, poussant Svarting à décoller son front du sien. Ils se fixèrent quelques instants avant que Svarting ne prenne la parole.

- Je ne suis pas très doué pour réconforter les gens, de plus, on ne réconforte probablement pas quelqu'un de la même façon dans le monde des humains que dans le monde des dragons.

Iwenn le fixait aillant arrêter de pleurer, il détourna légèrement la tête pour fixer les ailes qui l'entouraient. Il tendit sa main pour tenter de toucher l'aile gauche du dragon, mais à peine eu, il effleurait cette dernière que le noiraud la retira brusquement. Il baissa alors les yeux légèrement honteux.

- Je suis désolé, répliqua-t-il en regardant ses genoux, elles sont rouges, alors.

- Ça n'a pas d'importance.

- Si je peux ainsi connaitre ton point faible. Ça voulait dire quoi déjà les ailes rouges ?

Svarting se sentait en terrain glissant, il ne voulait pas spécialement parler de ça. Mais il fallait voir le bon coter des choses, Iwenn avait arrêté de pleurer.

- Tu ne voudrais pas parler d'autre chose par hasard ?

- Non, mais maintenant que tu poses la question, tu pourrais me dire comment se déroulent les entraînements, tu as dû les faire non ?

 Svarting soupira soulager qu'Iwenn changes de sujet.

- Oui bien sûr, les premiers jours serons entièrement consacrés aux explications, ils vont t'expliquer comment ça va se dérouler, vous allez parler des différant types d'armes, des points faibles des humains. C'est aussi, c'est jours là où tu dois sympathiser avec les autres et que tu dois observer leurs points faibles pour pouvoir partir avec un maximum d'avantage pour les combats de sélections. 

- Les combat de sélections ?

- Oui les entraîneurs organise des combats entre les personne qui postule pour sélectionner qui pourra suivre l'entraînement pour devenir garde.

- Il faut gagner pour pouvoir suivre l'entrainement ?

- C'est mieux.

- Il faut que je gagne ? Si je perds, vous allez me tuer, c'est sûr, je ne vous serrais de plus aucune utilité, dit le roux en recommençant à paniquer, les larmes recommençaient à monter. Menaçant de couler encore une fois, une main se posa soudainement sur son épaule.

- Par pitié, ne recommence pas à pleurer, ça va bien se passer. Bon c'est sûr que si tu n'es pas pris pour faire les entraînements, je ne peux pas garantir que tu t'en sortiras vivant. Dans le meilleur des cas, tu seras réquisitionné pour faire le ménage et dans le pire des cas, tu mourras, mais se n'ai pas une raison de pleurer.

- Je te confirme tu ne sais pas réconforter les gens, j'espère que tu es fière de toi, tu m'as fait encore plus stresser que je ne stresse déjà, dit-il en se levant pour se diriger ver son lit, je te déteste, ajouta-t-il en s'assaillant sur son lit.

○●○●○

1188 mots

J'espère que se chapitre vous a plus perso, j'ai détesté l'écrire, mais bon, il y avait pas le chois. Bonne journée/nuit.

Kiss Kiss ♡♡