Une fanfiction dans l'univers de Jujutsu Kaisen qui vous plongera dans une tourmente amoureuse sans fin.
Passion, dualité, rivalité, combats, dilemmes seront les mots d'ordres dans ma première fanfiction sur JJK.
Différents point de vue seront abo...
Tout au long de ma vie, j'ai dû toujours courir, fuir, pour éviter que le passé me rattrape, au départ, je ne pouvais pas faire autrement, la vie ne pas accordé la joie d'avoir des parents aimants ou non, de souffler mes bougies avec eux, d'avoir un foyer doux, ni même des bras consolateur...
Retrouvée dans un carton, devant la porte d'un temple à Tokyo, d'après la directrice du foyer, je portais autour du cou, un simple médaillon en bois avec mon prénom, et une lettre demandant que le clan Zenin me prenne en charge à l'âge de mes quinze ans.
Pour moi, le foyer était devenu ma maison, ma famille, mais avec le temps, j'ai vite compris que j'étais différente, et que ceux que j'aimais commencèrent à me tourner le dos, ou avoir peur de moi.
J'avais dix ans, mes cheveux traînaient derrière moi, les ombres ce sont transformées en monstres, des disparitions de jeunes enfants commençaient à être inquiétantes, ça avait commençait par trois disparitions, puis, le nombre ne cessait de se multiplier chaque mois, je n'étais pas terrorisé au contraire, jeune, je me sentais chez moi, comme si tout ceci était normal...
Puis, le tonnerre s'est abattu dans le ciel, tout était gris, il pleuvait, un hurlement provenant de l'extérieur, au niveau du jardin là où les fleurs ne poussaient plus depuis dix ans, ni les oiseaux ni les rôdeurs nocturnes voulaient s'approcher, je supposais à l'époque s'une chose horrible se cachait, fixant ses proies de ses yeux jaunes, crocs noirs sortis, prête à les dévorer pour assouvir son appétit féroce.
Mais il s'agissait pas d'une chose horrible, ça, je l'ai sût bien plus tard.
Curieuse de nature, je me suis précipitée à l'extérieur, là où le jardin donnait plus l'impression d'être un cimetière à l'abandon, qu'un coin idyllique, serrant mes mains l'une contre l' autre si fort que j'aurais put me briser les os, rassemblant tout mon courage, frôlant l'hystérie, pas à pas, je me rapprochais de cette zone, malgré le froid, les frissons, je sentais que la température chutait de plus en plus que je me rapprochais.
Au centre du jardin, il y avait une petite fontaine, pittoresque en bois, qui commençait à pourrir à cause d'un manque d'entretien des locaux et également du foyer, une chose effrayante rôdait autour, elle mesurait dix mètres, je dirais, mais j'étais petite, son corps était couvert d'une matière visqueuse, la chose face à moi, marchait sur six pattes, le dos courbé, la tête à ras le sol, la langue traînant derrière elle sur deux mètres, puis, le monstre s'est immobilisé, et ses yeux ont rencontrés les miens.
Une crise d'angoisse, un souffle, et l'instant d'après, le monstre disparu sous une pluie de grosses pétales, laissant derrière elles, un reflet arc-en-ciel, ce soir là, dans la pénombre, il m'attendait, il s'avait ou me trouver, l'homme à la balafre sorti de sa cachette, puis, je me suis retrouvée devant plusieurs personnes, recroquevillée sur moi-même, l'angoisse ne m'avait pas quitté, bien au contraire, elle devenait de plus en intense quand il osa poser les yeux sur moi.
- Qui êtes-vous ?
Lui : Toji.
A suivre...
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