Une fanfiction dans l'univers de Jujutsu Kaisen qui vous plongera dans une tourmente amoureuse sans fin.
Passion, dualité, rivalité, combats, dilemmes seront les mots d'ordres dans ma première fanfiction sur JJK.
Différents point de vue seront abo...
Mais qu'est-ce que je fais ? Absolument tout le contraire de ce que je souhaitais.
La mort des exorcistes.
Sur un lit de fortune, fabriqué avec le kimono que je portais dès son arrivée, la femme qui m'intrigue semble dormir, proche de son visage, je m'aperçois que durant son sommeil, elle pleure.
De quoi l'ai-je libéré ?
En l'observant d'un peu plus près, mon cerveau se met à imaginer tout style de scénarios, un mari jaloux et possessif, mais elle ne porte pas d'alliance.
Un clan envieux de ses pouvoirs, ceci reste l'hypothèse la plus probable, car elle porte sur ses poignets une ligne rouge des deux côtés, saupoudré de quelques bleus, qui gâchent la blancheur de sa peau.
Les Zenin...
Ce clan est près à tout pour cacher une petite fille aux dons merveilleux, tout comme les grands clans d'exorcistes d'ailleurs.
Elle : J'ai dormi longtemps.
- Deux jours. Donc oui.
Elle : Mon frère va s'inquiéter.
- Le temps passe plus vite ici, tu t'es absenté que deux heures.
Elle : Aïe, ma tête. Je dois partir, mes amis...
- Ils vont bien.
Pendant sa petite évasion dans le monde des rêves, j'ai profité qu'elle ai le dos tourné pour mélanger nos énergies occultes, pactiser avec elle sans son consentement pour prendre possession de son corps, et ainsi non seulement elle a gobée deux de mes doigts mais en plus j'ai tué les fléaux qui s'en sont pris à elle.
« Je me ramolli la ? »
- Tu as parlée d'un frère ?
Elle : Oui, c'est mon petit frère, il s'appelle Toji.
- Tu peux partir.
Elle : Et toi, tu vas rester seul ?
- Ça te rend triste ?
Elle : Je ne le devrais pas mais, oui. Aurais-je l'occasion de te revoir ?
- Surement. Disparais.
Un claquement de doigt, et la solitude me rend une nouvelle fois paranoïaque laissant un vide qui me rend perplexe.
Assis, encore, sans kimono cette fois, je fixe le lit sur lequel elle était allongée, elle pleurait, mais elle souriait, décidément cette femme est étrange.
Venant de nulle part, un papillon se pose délicatement sur l'endroit où elle dormait, contrôlant l'extension du territoire, ce papillon n'aurait jamais dû entrer, curieux, je détends mes muscles crispés, bondi, puis je secoue mon kimono.
- Tu es maline étrangère.
En effet, dessus elle a laissée une minime énergie occulte, ce qui lui permet d'aller et venir ici quand elle le voudra, mais ça, elle l'ignore et moi, j'ai laissé une moitié de moi en elle.
« Techniquement elle a fait pareil. »
- Ça me soule de l'appeler « elle ».
Elle : Hey, toi, oui, toi, tu crois que je ne me rend pas compte que mon énergie occulte a changé.
- Tu oses me parler sans apparaître.
Elle : Oui !!!
A travers un miroir, je la vois apparaître, elle ne porte rien, ses cheveux ont l'air mouillés, empoignant une serviette pour cacher sa poitrine, elle pointe du doigt comme pour me réprimander en direction du miroir et fronce les sourcils puis pince ses lèvres.
Elle : Tu as osé me faire gober tes doigts moches !
- Je te sauves la vie, et c'est ainsi que tu me remercies.
Elle : Oui ! Et le consentement tu connais ?
- Pas vraiment. Comment ça, j'ai des doigts moches !
Elle : Écoutes moi bien ! Tu vas t'excuser car c'est mal ce que tu as fais !
- Jamais.
Elle : D'accord, alors je vais réunir les grandes familles d'exorcistes afin qu'ils t'extrait de mon corps. Mais, je te remercie.
- Tu es bipolaire.
Elle : Je ne sais pas ce que je dois faire.
- Ne dis rien, ne fais rien, agis comme d'habitude, ça sera notre secret.
Je venais de me lier à elle malgré moi, en sachant très bien qui elle était. Alors ce jour là, nous avions eu en commun un secret.
Secret, qui au fur et à mesure nous rapprochèrent.
A suivre...
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