Han [Chapitre 3]

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Nous y voilà enfin soufflais je

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Nous y voilà enfin soufflais je

Je me tenais là devant ces vastes portes ornées de parure d'or appartenant à la famille la plus riche du pays, attendant là avec ceux qui se designaient comme mes géniteurs

« alors, c'est vraiment bien plus qu'un triste rêve, je vais me marier !
C'est décidé, c'est un jour heureux pour ma famille, alors pourquoi j'ai envie de pleurer ? »

°Fais bonne impression et met tout en pratique telle fut la phrase prononcer par ma mère me sortant de mes pensées

« pourquoi tant de froideur ? Pourquoi n'ai je pas droit à de l'amour même aujourd'hui, pourquoi n'est telle pas hypocrite ? Pourquoi ne me sert il pas dans leur bras ? »

J'aimerais juste que quelques quelqu'un me dise ça va aller

Parceque j'ai peur

°oui mère j'ai répondu sans aucune émotions

sur ces mots les portes s'ouvrent sur le visage bienveillant d'une chaleureuse dame très jeune d'âge au yeux vert et au vêtement simples,
« Elle est trop jeune c'est sans doute une servante vu qu'ils n'ont pas de fille» j'ai pensée

derrière elle se trouve un couple d'âge moyen au expression impacible

« ce sont sans doute les fameux Paris
et aussi mes futurs beau parents »

Loin de toutes mes pensées ils avaient l'aire très jeune et ne semblaient même pas se rendre compte de leur statut au vu de la simplicité de leurs vêtements , madame Paris est une grande femme fine, d'âge moyen au cheveux noir et au yeux gris habillé d'une robe longue verte orné de fleurs semblable à un jardin de fleur au printemps, monsieur Paris compte à lui est un homme aussi vieux qu'elle et tout aussi valide, vêtu d'un pantalon noir et d'une chemise blanche, un style si simple que l'on en doutais de leurs rang social

°Allant zaratefis dégager de là ce sont nos inviter et pas les vôtres à dit madame paris

Quel froideur ces mots dit de façon si calme et naturel me firent friconner à la seconde, elle l'est avaient prononcer calmement comme si c'était normal de traiter les gens de cette façon
Es ce que son fils est pareil j'ai pensée je ne l'espère pas

°Entré très cher à dit monsieur paris

Mes parents entre et je les suis derrière, nous nous sommes installés sur une grande table en bois et aussitôt madame paris prit la parole

° Nous n'allons pas passer par quatre chemins

« j'ai peur »

°mademoiselle leonne êtes vous en bonne santé ?

C'est de ça qu'elle voulait parler, j'avais entendu que il étaient très dur concernant les relations de leurs enfants, mais si ce n'est que cela pas de souci je vais répondre du tac au tac

Tu As Un Ans Pour M'aimer Où les histoires vivent. Découvrez maintenant