Le lendemain, mercredi, matinée sans rebondissements, je rentre donc, ma mère est la, en larmes, telle une misérable, faible, perdue, impuissante. Autour de son coup des marques de strangulations. "Qu'était-ce ?" me demandais-je. elle aperçût dans mon regard cette interrogation, en un sanglot hurlant de haine elle m'annonça qu'elle cherchait réponses a ces questions, dont personne a part la principale intéressée du surnom de 'poufiasse' ne pouvais y répondre, elle était allée la voir, de rage et avec ce sentiment d'invincibilité causé par l'immense haine, elle l'avait insulté ainsi que ses enfants, ma mère avait souhaité tout le malheur du monde aux enfants, cette salope avait attrapé ma mère, l'avait étranglé en l'insultant disant pour se dédouaner que mon père l'avait déjà trompé, elles étaient devenue folle. Sur cette nouvelle je ne cru pas capable mon père de faire une telle chose et j'avais raison, je voulais pas aggravé la situation seulement il fallait réagir, je me changea, pris mon vélo et partie voir cette femme ayant touché a ma mère, j'arriva devant la maison, je frappe a la porte, son mari partait au travail, alors je me cachais, après l'avoir perdu de vue j'entre, je la vois, je lui hurle dessus, si elle touchait encore une seule fois a un cheveux de ma mère je la tuerais, elle me prit par les cheveux, a cet instant je devint folle, je la frappais au visage, me mettant a hurler de colère, une main sur son coup, l'autre lui mettant un coup de point, alors qu'elle était a bout je la poussais sur le canapé, je l'avais griffé au cou, une trace bleutée commençait a apparaitre près de son œil ainsi que du sang qui coulait de son nez, elle se mit a pleurer a chaudes larmes, ma pitié ne me touchait plus, je la méprisait. Cette femme qui auparavant était comme une amie, j'avais passé des moments superbes avec elle, je lui faisais confiance, j'avais été trahis je me sentais d'une naïveté incomparable, je lui balançais a la figure tout ce que j'avais sur le cœur, la laissant sans arme de défense pensant aussi a ses enfants, et je partis. J'espérais qu'ils ne la voient pas comme ca, j'aimerais pouvoir protéger sa fille, elle était importante pour moi, je ne voudrais pas qu'elle souffre, ma sensibilité et mon empathie refaisait légèrement surface, il fallait rapidement que ces sentiments se noient dans cette histoire.
Je monte dans ma chambre reprendre un peu mes esprits, je n'ai pas vraiment compris ce que j'avais fais, je commençais à me perdre dans cette succession d'évènements, ma mère entre:
-"tu étais ou je n'ai pas arrêté de te chercher je me faisais un sang d'encre"
-"oh nulle part, j'étais partis marcher un peu j'avais besoin de prendre l'air les cours m'oppressent déjà !"
-"viens manger maintenant ,il faut que tu manges"
-"non je n'ai vraiment pas faim je vais écrire en écoutant de la musique c'est plus utile"
-"ok, bon écoute je vais partir quelques jours ton grand père est malade et ta grand mère est a la maison de retraite"
-"ah d'accord tu pars quand?"
-"Demain" elle sortit de la chambre.
Je descends mon père est rentré je ne lui fais pas de bise je n'y arrive pas, trop de rancœur m'en empêche. Je rappelle a ma mère de m'emmener a l'équitation, elle me dit d'aller faire mes devoirs, je lui dis qu'ils sont déjà fait, et s'en raison elle m'insulta, et me pris le bras en me plantant les ongles et le tordant je criais mais n'osais pas me défendre, elle me tirait aussi les cheveux, après de longues minutes elle s'arrêta, j'avais un énorme bleu, et saignait la ou se formait des traces d'ongles profondément enfoncés. Je sortis en trombe de la maison sous les yeux incompréhensifs de mon père, j'allais a l'équitation a pieds et emprunterais le matériel la bas, je partais rejoindre Flash, mon bonheur le plus ultra, du moment qu'il est présent dans ma vie il y aura toujours un point positif a exister qui me pousseras a exceller.
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Le monde s'effondre.- Actuellement en réécriture et finissions.
Teen FictionAujourd'hui j'ai tout pour être heureuse, une famille unie, une belle maison, des amis uniques et je croque la vie a pleine dents, me disant que le bonheur n'est pas éternelle, je vais être rapidement confrontée à ce changement. Observatrice, nuancé...