Le monde s'effondre.- Actuellement en réécriture et finissions.

Chapitre 7

Quelques semaines après cette soirée infernale, le week-end arriva enfin ! Ma mère était partit mais aussi revenue de Nice, où elle avait trouvé mon grand père très fatigué, continuant a se battre pour vivre, seulement pour l'amour passion qu'il ressentait envers ma grand-mère, après 65ans de mariage la flamme de son amour pour elle ne s'était au grand jamais éteints, malheureusement ma grand mère était malgré tout très malade, elle ne se souvenait plus de personne, ne parlait plus, ne marchait plus, il fallait la nourrir, j'avais beaucoup de peine, mais encore une fois la haine était plus forte, j'étais impuissante, inutile. Tout ceci était d'une injustice folle, ma mère était donc allé s'occuper de ma douce mémé, parfois les personnes contractant cette maladie étaient aigris, violents, mais elle non, elle était la douceur même, je n'avais pas beaucoup vue ma mère cette année, elle était beaucoup sur chez mes grands-parents, afin de s'en occuper, cela lui permettait de voir ma sœur, ca la rendait si heureuse de voir sa fille ainsi que ses petits enfants, voila ce qui résumait son vrai bonheur, après que ma génitrice rentre de son séjour (n'étant pas de tout repos), mes parents ressemblaient à deux jeunes tourtereaux, venant de se rencontrer et déjà fou amoureux, des bisous par-ci des bisous par-là, je prenais un air d'adolescente « blasée » et dégouté de tant d'amour. M'exclamant de millier de beurk accompagné d'une tête infecte je montrais ma moquerie avec joie, dans mes pensées j'étais si contente qu'ils soient si heureux, je savais que ca ne durerait pas, c'est tout simplement IM-PO-SSI-BLE ! Mais bon profitons du moment présent, la crainte et la douleur était trop présente dans ma vie à présent, je ne pouvais pas rater une occasion de sourire. Sur ceux je monte dans ma chambre, une vision horrible avait troublé mon esprit, je voyais mon grand père convulser, manquer d'air, ses magnifique yeux bleus écarquillés je devais et pouvais faire quelque chose, je fermais les yeux en forçant, pensant a ma grand-mère et la vision s'arrêta. Je me mis a repenser a tout, tout ce qui se passait depuis des mois, je me pris la tête, l'envie de hurler me hantais, et la peur de déraper, de devenir folle me terrifiait, je pleurais a présent, mes jambes tremblaient, je m'effondraient par terre sans réussir a respirer, mes larmes n'étaient pas de tristesse, mais de colère, ces perles n'étaient pas nombreuse, ni vraiment sincère, je me forçais afin de me vider mais après les réelles ressentiments me faisaient m'effondrer. Une haine maladive m'envahissait, contre tout le monde je ressentais une haine folle, je voyais en chacun de ces êtres la manipulation, le mensonge, l'ingratitude, la méchanceté, l'égoïsme, la fausseté... Je démasquais chacune de ces personnes, ce qui évidemment ne plaisais pas aux intéressés, qui essayaient bien sure de m'éloigner de leur « victimes ». Pas tous n'étaient comme ca, Vanille, Ondine, Nina, Gabriel, eux étaient sincère et respectueux des autres. Flash me manquait considérablement et sa progéniture ne tarderait pas arriver, il fallait que je sois prête à accueillir celui que je considérait comme un petit bout d'épanouissement, d'espoir et aussi un beau défis.