Dettes.

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Alta Gracia

Frencho rojo, 00:00.
Je m'empressai de rejoindre mon professeur, qui me suivez et qui en plus de ça à une photo de mon acte assez sanglant.

À sa hauteur sa bouche s'ouvrit pour y souffler mon nom.

- Mademoiselle Sandoval... Stressée, je replaça d'un revers en arrière mes cheveux qui se loger devant mes yeux giflants mes joues a cause du vent qui c'était levé depuis moins d'une demi-heure.

- Pourquoi avez-vous cet foutu photo ?

L'interrogèrent.

- J'ai les moyens de te faire chanter désormais. Rigola-t-il.

Il se joue de moi ?

- Laissez-moi rire,

j'étais confiante comment saurait-il toute ma vie, certes je suis connu de mon nom et quelques autres choses, mais ma vie figure inconnu de tous, donc il lui était impossible d'en savoir plus.

- Tu es Alta gracia unique héritière de la fortune Sandoval avec au passage une très belle dette, fortune que tu ne touchera que lorsque tes dettes seront payées.

Enchaina-t-il tout en me fixant de ses iris perçants, insistant sur le mot dette.

Putain.

- famille de trafiquants, et visiblement de tueurs, et surtout la famille la plus renommée d'Espagne après les Escobar, je me trompe ?

Ajouta-t-il d'un air triomphant. Mon cœur fit un bon dans ma poitrine à l'énumérassions de tout ce qui savait sur moi.

Il s'empressa de reprendre voyant que je perdais patience, Si tu crois que je vais te lâcher maintenant que je sais tout ça, tu as tort.

Il m'a eu.

Je le pris par le bras pour le conduire sur route éloigné pas loin de la voiture.

Bien isolé de toute population, lorsqu'en un claquement de doigts mon arme se retrouvait plus qu'à quelques centimètres de sa poitrine.

- Comment savez-vous tout ça sur moi monsieur ? Une obsession maladive, vous rendent fou de ma vie ?

Son visage ne semblait pas tendue plutôt décontracter même,

- Plus qu'une simple obsession Sandoval, tu es ma monnaie d'échange.

Je fis un pas de plus jusqu'à touchait son torse de mon arme.

- Comment ça monnaie d'échange ?

- On est dans la même merde ma douce, sauf que toi tu as un zéro en plus.

D'entre mes lèvres s'échappa un long soupir avant que je ne range mon arme.

- Vous devez aussi au Ascalente et je suis la tête que vous devez abattre c'est ça ?

Sa tête s'abaissa pour remonter m'indiquant un léger oui.

Connard d'Ascalente.













Armendo


Elle se tenait là,
prête à me loger une balle dans la poitrine, après 3 trimestres à chercher son identité j'ai enfin compris.

l'Ange et l'Ange Déchu 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant