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Alta Gracia

- Il reste désormais deux mille euros, bastante endeudada. A l'entente de se chiffre mon visage se décomposa,

Va au diable. Devoir des milliers a tous les anciens associés de mon géniteur.

- Mais je vous ai ramené deux hommes ! Ma voix stridente, mes yeux rouge brûlées par la fatigue.

- Et je t'en félicite ! Maintenant pars j'ai un entretien. Sachant que je ne pourrai rien en tirer, je me dirigeai furieusement vers la porte avant de la claquer violemment après moi.

Une fois sortie de ces ruelles moisie, je m'effondra contre la portière de ma voiture. Je n'en peux plus.

- Je te déteste !

Vide, je me sentais vide par sa faute, il avait anéanti mon existence bien avant mon arrivée dans ce monde cruelle et sans pitié.

« Il nous devait quelques milliers a tous mais malheureusement il est mort... sauf qu'il nous manque notre fric Alta. »

Leurs voix tournaient en boucle dans mon esprit me faisant vomir. Ma gorge acide, ma vue embuée.

« On peut te proposer de travailler pour nous afin de rembourser cette jolie dette qui pèse désormais sur tes épaule. »

La pire des pourritures. Comment as-tu fait pour ne pas m'aimer un minimum en m'évitant tout ça !

Un ans, onze mois, neuf jours, 2 heures, 9 minutes et quatre-vingt secondes.

C'est tout ce que j'avais pour rembourser ma dette au près des Gonzales.

- Esteban il faut que tu me prêtes de l'argent...
- Princesa tu me dois des millions et tu m'en demandes encore ?

Je n'ai jamais eu le choix. Comme si devoir aux Gonzales aux Mayorque et aux Ascalente ne suffisaient pas à mon malheur.

~






Maison Sandoval, 04:30.
Un matin ennuyant comme c'est deux derniers trimestre, je me levai, mon chien m'attendait pour que je le sorte, je cours avec lui 5km tous les jours ça fait du bien, j'en ai vraiment besoin. Cela m'aime à oublié.

« L'horloge tourne. »

Après ça je le nourris il était déjà 6h00, le temps passé à une allure folle. Je pris donc une douche rapide avant de me choisir ma tenue.

Après plusieurs minutes d'hésitation j'opta pour une robe noir près du corps avec un col roulé qui avait son charme parmi ma garde-robe. Le mois de novembre n'est sûrement pas fait pour des tissus fins.

je me maquillai ensuite mes yeux d'un eye-liner fumant qui alourdissaient mon regard. Au niveau de mes cheveux je pensa a boucler légèrement vers les pointes, les laissant tomber sur mes épaules. Enfin prête.

Sur le trajet mon téléphone vibra soudainement me déconcentrent, le nom de ma meilleure amie s'afficher indiquant qu'elle essayé de me joindre.

Je décrocha au bout de la deuxième sonnerie, accompagné d'un soupire.

l'Ange et l'Ange Déchu 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant