Alliance.

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Armendo

Manoir Escobar.
À l'intérieur son cavalier la cherchait alors je passa devant lui en lui murmurant.

- Si vous cherchez votre cavalière, elle est encore dans le jardin.

Il s'arrêta, son visage affichait une expression qui se nomme la jalousie.

- Elle était en votre compagnie ? Je souffla, puis repris la parole

- Avec ce que nous venons de faire je pense qu'elle doit être en train de se recoiffer un peu.

Après avoir répandu mon poison je me faufilai à travers la foule à fin de pouvoir sortir de ce manoir d'hypocrite.

J'avais assez joué mon rôle pour ce soir.

Dans ma voiture j'appela mon associé lui expliquant comment tout ça c'était déroulé. En regardant l'heure sur ma montre je remarquai qu'il était 23:33.

Chez moi j'ouvris ma fenêtre à fin que mon chat puisse sortir.

- Essaye de revenir avant que je me couche chat ingrat, Il se mit à miauler je pris ça pour un "t'inquiète papa je gère."

Après mettre lavait et enlevait ces foutues lentilles,
je me posai sur mon canapé en regardant un film.

Quelque chose au sol attira mon attention. Sa carte. Je chopai mon téléphone et ni une ni deux je composai le numéro indiqué sur la carte.

Ça sonna, une première fois sans réponse, une deuxième toujours sans réponse mais la troisième fût la bonne car j'entendis sa voix endormie.

- Quién me llama a esas horas ?
- Tu repartidor personal.














Alta Gracia

Maison Sandoval.
Après une bonne douche embuée, je m'allongeai sur mon lit et pris mon Macbook pour jeter un oeil a mes mails.

« Vous avez 1,445 nouveaux mails. »

Non sérieusement c'est énorme, les gens ont que ça à foutre ?

Une fois avoir trié mes mails je fermai donc mon ordinateur, Je décida de choisir un livre dans ma bibliothèque je tomba sur un coup de cœur que j'avais déjà commencé.

Le livre s'intitulait « mille baisers pour un garçon » Putain les larmes que je versais à chaque chapitre...

Soudain mon téléphone m'alerta qu'un numéro essayait de me joindre, en regardant de plus près se numéro ne me disais rien. Je décrochai quand même, on sait jamais.

- Quién me llama a esas horas ?
- Tu repartidor personal.

Il m'appelle à une heure pareil alors que j'étais en train de lire.

C'est une blague ?

Je bayai avant de parler.

- Quel culot Monsieur Gomez, vous osez m'appeler à une heure pareil.

Il me coupa la parole,

- Tu sais à quoi je pense la ?

Un rire résonnait à l'autre bout du téléphone un instant avant qu'il n'active le FaceTime je fis donc de même puis lui demanda a quoi il pensait.

- À comment on allait détruire les Ascalente.

J'entendis des miaulements je profitai de cette
occasion pour changer de sujet

l'Ange et l'Ange Déchu 1Où les histoires vivent. Découvrez maintenant