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PDV Amalia

Je cliquai alors sur la notification et lit le message que mon patron m'as envoyer :

Bonsoir mille Johnson, je tiens d'abord à m'excuser de vous écrire à une heure aussi tardive. Je vous préviens déjà maintenant de mon absence mercredi. J'ai omis de vous le dire aujourd'hui et je préfère vous l'annoncer plusieurs jours à l'avance afin que vous puissiez vous organiser. Je me suis aussi permis de vous envoyer ce message sur votre téléphone personnel afin que vous le voyer avant de venir au travail. Bonne fin de soirée.

Je lis son message et note l'info dans mon agenda. Ce message étais tout ce qu'il y a de plus normal entre un patron et son employée, alors pourquoi j'ai cette boule dans mon ventre qui me prouve que je ne voulais pas ce genre de message venant de lui...

Attends quoi ! Qu'est que je dis la il faut que je dorme sa doit être la fatigue.

Je réponds à son message en disant que j'avais pris en compte l'information branche mon téléphone à la prise électrique, met mon réveil et m'endors enfin.

_____

Je suis actuellement dans mon bureau, il est 17h45 et dans un quart d'heure il j'ai finis ma journée. Mon travail est déjà rendu et j'attends patiemment 18h. Ce midi j'ai manger avec Vic et Livia dans une pizzeria du coin.

L'heure arrive et je sort de mon bureau puis de l'entreprise à pied car je doit passer récupérer un habit au pressing.

Une fois mon tailleur récupérer je sort commence à marcher mais m'arrête instantanément en voyant ce qui se passe devant moi. Mes mains et mes jambes commencent à trembler, mes yeux se trempent de larmes et je mordille ma lèvre inférieure avec mes dent pout ne pas craquer.

Il est la.

Celui qui a briser sept longues années de ma vie, celui à qui je faisais confiance et qui m'as poignarder dans le dos.

Il est la, devant moi et il m'a vu car son sourire s'agrandit quand ses yeux croisent les miens.

Ses yeux d'un bleu électrique qui, autrefois, me rassurais tant, aujourd'hui me font l'effet inverse.

Je me dépêche de tourner les talons et me met à courir en direction de l'entreprise sans regarder derrière moi. Je bouscule des gens sur mon passage mais je n'y fais pas attention.

Je cours tellement que j'ai l'impression que mes poumons brulent, se consument à l'intérieur même de ma cage thoracique emmenant avec leurs cendres la carapace que j'avais mis tant de temps à créer autour de mon petit cœur si fragile.

Alors que je commence à voir le bâtiment, de l'entreprise je percute de plein fouet une personne et au moment ou j'allais m'étaler par terre deux bras puissant me retiennent, une de ses mains se glisse dans mon dos et l'autre me maintient fermement par la hanche.

Lors que je me tiens debout je lève la tête alors que la personne me dit :

- Vous pouvez pas faire attent...

Je vois alors le visage de mon patron et lui laisse sa phrase en suspend en voyant le mien.

- Mille Johnson, allez vous bien ?

J'essuie rapidement mes larmes et lui réponds l'air peu sur :

- O... oui merci. J... je dois y aller au revoir monsieur Carson.

Je n'attends pas de réponse de sa part et cours vers le parking de l'entreprise en sentant son regard sur moi.

Je grimpe dans ma voiture et roule à toute allure pour rentrer chez moi. Une fois arrivée je me pose sur mon canapé les mains encore tremblantes.

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