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PDV : Amalia

Mardi, 12h46 :

Nous venions de finir cette interminable réunion avec mon patron et quelques uns de ses associés. Nous étions beaucoup moins qu'hier et ce fut bien plus agréables comme sa. Tout le monde était sorti de la salle sauf mon patron et moi. Il étais près de la porte et attendais avec ennuie que je finisse de ranger mes affaires.

Une fois cela fait je me dirigeais vers lui et lui demanda :

- Monsieur, la réunion était longue et le débit de parole très rapide, je n'aie donc pas pu collecter toutes les informations importantes serait-il possible que vous me donniez l'enregistrement de la réunion afin que je puisse compléter mes notes et vous rendre un rapport complet ?

J'ai rapidement appris que mon patron enregistrais toutes ses réunions afin d'en garder une trace ou au cas ou le rapport rendu ne serais pas complet. Je pense qu'il n'as pas tord sur ce coup la, on est jamais trop prudent. Il acquiesça mais tendit la main vers moi. Je le regardais incrédule et il me dit d'un ton lassé :

- Vos notes.

Je m'empressai alors de saisir mon carnet au fond de mon sac. Etant le bordel à l'intérieur je mis trop de temps à le trouver au gout de mon patron que me dit :

- Dépêchez vous enfin !

Je le trouvais enfin et le lui tendis les joues roses. Il le pris et commença à lire mes notes tout en marchant vers l'ascenseur. Je le suivis sur les talons et nous nous engouffrâmes dans la cage d'acier. Je le laissais alors appuyer sur l'étage -1 qui était le parking de l'entreprise. Alors que nous descendions, il me dit alors :

- Ce midi nous avons avons un déjeuné d'affaires à 13h nous nous y rendons maintenant et nous rentrerons à l'hôtel vers 15h. Vous aurez le reste de la journée pour vous reposer ou visiter la ville. Demain, nous n'avons aucune réunion prévue pour l'instant mais cela peut changer donc consultez vos mails régulièrement pour voir un éventuel changement de programme. Jeudi nous avons une réunion de 14h10 à 15h20 puis un gala de charité de 21h à 00h30.

Je notais toutes les nouvelles informations dans mon agenda électronique et le rangeais en même temps que mon carnet de notes qu'il venais de me rendre.

- Vos notes sont bien, il ne manque pas grand chose, je vous enverrais l'enregistrement par mail cet après midi.

J'hochais la tête.

Une fois arrivés devant Carl et sa voiture nous montâmes dedans et prîmes la route vers le restaurent.

Moins de dix minutes après, nous étions arrivés devant un hôtel/restaurent à l'allure luxueux. Nous nous approchâmes, Mr. Carson et moi, de la porte tambour que le portier fit tourner pour nous grâce à un bouton dissimulé derrière lui afin que nous puissions entrer.

Je fus directement subjuguée pas la beauté du hall d'entré lumineux et immensément spacieux. Le sol ainsi que les murs et le bureau d'accueil étaient en marbre blanc aux rainures grises claires. Au plafond pendait plusieurs lustres imposants semblant avoir été faits de cristaux transparents. Sur la gauche, en face des hautesses d'accueil, était disposés plusieurs fauteuils en velours blanc foncé accompagnés de petites tables basses en bois noir.

Le personnel de l'hôtel s'activais à répondre aux moindres désirs des clients et toute cette organisation me fascinais. C'est alors qu'un grand homme aux cheveux blonds dans la fin de la vingtaine d'année vint vers nous. Il ne portait pas l'uniforme du personnel, il portais un beau costume noir, faisant ressortir le gris des ses yeux.

Une fois devant nous il me salua d'un magnifique sourire que je lui rendis avec plaisir. Alors que je m'attendais à ce qu'il salue mon patron d'une poignée de main, il lui fit un tchek plutôt élaboré puis une accolade amicale. Je restais en retrait les laissant finir leurs familiarités. Après cela, le jeune homme blond me regarda, toujours en souriant, et dit à mon patron :

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