Lorsqu'il l'a vu pour la première fois, son cœur et son corps l'avait tout de suite désiré . Il avait compris que c'était le lien qui les unissait qui le poussé à réagir ainsi et à donc pris la décision de la garder auprès de lui, néanmoins, elle n...
Je me suis réveillée avec un mal de tête épouvantable, sentant que j'étais allongé sur quelque chose de chaud et de douillet. Je me levais brusquement et ouvris les yeux afin de voir où j'étais. J'étais dans une chambre luxueuse où une cheminée éclairé la pièce, mais faiblement. Le lit immense dans lequel j'étais prenait la quasi totalité de la pièce, il y avait des portes fenêtres en verre qui dévoilaient une immense forêt noire et deux autres portes dans la chambre dont une d'elle menait certainement dehors.
Tout d'un coup la peur et la panique s'empara de moi lorsque je remarque que Moon n'était pas à mes côtés. Ma première pensé a été de me lever et de sortir de cette pièce, retrouver mon ami et de sortir d'ici. Mais lorsque je me mis brusquement sur mes deux pieds, un vertige s'empara de moi et je m'écroule au sol. À cette instants précis, je me sentais impuissante, comment avais-je pu perdre le seul ami que j'avais, ma seul famille. Mon cœur commença à se serrer et c'était le trou noir complet.
***
Je me réveille de nouveau et il faisait totalement noir, j'étais de retour dans le lit et ma seul pensée était de savoir qui m'avait remis sur ce lit. Je me lève alors pour aller chercher Moon, si ma première tentative était vaine, ma deuxième ne le serra pas. Moon me manquait et je lui manquais également car nous n'étions pas habitué à être séparés trop longtemps.
Je me mis alors sur mes deux pieds en faisant attention à bien prendre mon temps avant de me lancer. M' assurant bien que je pouvais marcher, j'avançais alors vers la première porte qui me faisait face . Un immense escalier qui descendait indiqué clairement que j'étais au première étage et donc qu'il y avait une sorti en bas de ces escaliers. M'empressant de les descendre, je tombe alors sur un immense salon qui était relié à une grand cuisine , mais mon regard s'arrêta sur une cage posée sur le plan de travaille de la cuisine.
-MOOOOOONNNNN, avais-je criée sans prendre la peine de ne pas faire trop de bruit.
Il était la, dans la cage , j'étais enragé, qui avait bien pu enfermé mon Moon dans une vulgaire cage comme si, ce n'était qu'un vulgaire animale. Tout en essayant de le libérer, je n'avais pas entendu les pas de la personne qui se dirigeait vers nous. Moon se hérissa et je compris qu'il y avait quelqu'un derrière moi.
Me retournant avec une lenteur involontaire, je croisa alors le regard de l'homme le plus beau que je n'ai jamais vu. Il était grand et sous la chemise blanche qu'il portait, on pouvait observer ces muscles. Il avait de beaux yeux verts , des cheveux châtains et un beau visage. Sa beauté était si inhumaine, que ça en était effrayant.
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Tout en le regardant s'avancer vers moi, je ne bougeais pas car je voulais lui montrer que je n'avais pas peur de lui malgré que mon cœur tambouriné dans ma poitrine. Son regard était intense, il était remplis de désir, je ne savais pas pourquoi mais mes lèvres voulu s'emparer des siennes mais je me ressaisis au plus vite et me concentra alors sur Moon qui assisté à la scène.
- Libère - le tout de suite, dis-je à l'inconnu qui était devant moi.
- Pourquoi devrais-je t'obéir, me dit-il avec une voix grave, si intense et sensuelle que mon corps entier fus pris de tremblement.
- Ecoutez, je ne vous connais pas et je ne vous dois rien, donc relâcher mon ami et laissez nous partir, lui dis-je tout en essayant d'éviter son regard afin de me concentrer.
Il ne me répondit pas et s'avança de plus en plus vers moi jusqu'à ce trouver à 10 cm de moi , son parfum commença alors à m'enivrais et mes yeux s'étaient écarquillés. Mes mains avaient failli s'enroulé autour de son cou pour le ramener vers moi , mais grâce à un miaulement brusque de Moon, j'ai pu retrouver mes esprits. Son regard rempli de désir était posé sur moi, plus précisément sur ma poitrine car je ne portais plus mon imperméable et je détestais les soutiens gorge, je mis instinctivement mes mains sur ma poitrine. Il se pencha de plus en plus jusqu'à atteindre mon oreille et me murmura :
