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OMNISCIENT

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OMNISCIENT

La belle brune était assise sur le sable froid, elle essayait de se concentrer sur le son des vagues, mais rien ne l'aider, prises dans son propre piège, son esprit débordant de pensée sombres. Elle essuyer ses larmes chaudes avec la paume de sa main, pendant que sa jambe gauche tremblait sans cesse. Elle se débarrasser de ses cheveux qui collait à son visage trempée de larmes. Elle savait que les pensées n'étaient pas des faits, mais elle ne pouvait pas s'empêcher de croire qu'elle méritait qu'on lui ôte la vie. La solution idéale pour arrêter tout cette souffrance d'après elle.

Elle était malheureuse, son mal-être est extrêmement dur à vivre avec. Quand une personne préfère tout garder pour elle, elle finit par exploser, par pourrir. Elle n'arrivait pas à expliquer ce qu'il se passait dans sa tête, elle ne le voulait pas non plus. Son regard était vide, sans âme, sans vie.

Elle savait qu'elle était forte, autant mentalement que physiquement, mais elle était surtout fatiguée. La jeune femme ne sentit même pas la présence d'un homme, qui venait de s'assoir à ses côtés. Il pouvait avoir la troisième guerre mondiale maintenant si il le faut, elle ne pouvait pas être autant insouciante.

Le jeune homme qui est maintenant à ses côtés, était dans un état autant pitoyable qu'elle. Ils ne se connaissent absolument pas, mais en la voyant, il a marché vers elle, sans arrière pensées et sans raisons valables. Les deux étaient là depuis quelques heures, en remettant leurs vies en questions. Contrairement à elle, lui la fixait depuis son arrivée, la lune était la seule source de lumière cette nuit là. Il ne pouvait pas extrêmement bien la cerner, mais c'était assez pour s'émerveiller de son visage d'ange.

- tu veux ? En lui pointant le joint entre ses deux doigts.

L'albanaise réalisa que ces paroles lui était destinée, cette fois-ci c'est elle qui le fixe pendant un moment, avant d'hocher la tête en souriant à moitié.

- tu t'appelles ?  Demande t'il, peu serein de son approche.

Elle souffla la fumée épaisse, les yeux à moitié fermés avant de lui répondre, son prénom.

- Florim. Dit elle, toujours en souriant. Si les proches de Florim pouvaient la décrire en un mot, ça serait la douceur. Florim était la gentillesse incarnée, C'était rare de trouver des personnes autant, spontanées et compréhensives qu'elle. Elle en a vécu des choses dans sa vie, traumatisante ou marquante. Elle préférait quand même passer ses proches avant elle.

Il souriait à son tour, en entendant pour la première fois se prénom. Autant intrigué, qu'intéressés il n'hésite pas une seconde de plus pour lui demander la signification, de se prénom si unique.

- je suis albanaise, elle sourit, flori signifie l'or en albanais, ma mère a accouché pendant l'aube, le lever de soleil en Albanie était toujours dorée, et elle l'a pu l'apercevoir depuis la fenêtre le moment ou je suis sortie, et puis voila. Elle se retourne vers lui, pendant qu'il l'a regardé parlait, comme obsédé par cette inconnue.

- je m'appelle Mathieu. Dit il simplement.

Elle rigole discrètement, son rire était d'une sincérité qui touchait profondément Mathieu.

- je te demande pas comment tu vas, commence t'il, mais qu'est-ce qui te mets dans cet état ? Il voulait paraître un peu plus sur de lui, mais il ne savait vraiment pas comment l'aborder, et pour lui Florim l'intriguer.

- moi non plus je te le demande pas, elle l'analyse un moment avant de continuer, on est tout les deux dans le même état.

- alors raconte moi tout, on se connaît pas et on va sûrement pas se revoir, dit moi tout ce que t'as jamais osé dire à personne, et je ferais de même. Lui proposa Mathieu.

Il avait raison, ils allaient sûrement ne pas se revoir d'ici tôt, ou même plus jamais. Et si cette occasion pourrait les aider, alors vaut mieux le faire. Elle n'était pas trop emballée par l'idée, car elle n'était pas le genre de personne à se confier, surtout pas aux inconnus. Mais elle avait se flair, se pressentiment qui lui disait que non, Mathieu n'était pas un simple inconnu, mais quelqu'un de spécial.

- qui commence ? Demande t'elle en souriant, une énièmes fois.

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Le début du début, ils grandissent si vites. Alors vous aimez bien ?

 Alors vous aimez bien ?

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cœur en or - plkOù les histoires vivent. Découvrez maintenant