Bismillah
Bonne lecture
Trois ans plus tard
Dans la peau de hadeija
Moi:chu,tais toi, aller s'il tôt plaît,chu
Comme vous l'avez compris je suis entrain de bercer ma fille qui n'arrête de pleurer depuis un bon moment déjà, je ne sais pas ce qu'elle a, je suis épuisée,malade, tout ça me dépasse, je ne sais pas vers qui me tournée,il est 2h là, je ne veux pas réveiller Binta a cette heure pareil,mais ses pleurs s'emplifient au fur à mesure, je prends ma torche et avec beaucoup d'hésitation,part frapper la chambre de son père
Moi: Alhadj, Alhadj, Alhadj
J'attends la serrure, et il ouvre la porte à moitié nu devant moi,il a l'heure d'une personne qui été à fond dans son Sommeil
Lui: toi? qu'est-ce que tu fais ici ?(en fronçant les sourcils)
Moi:excusez moi d'avoir dérangée,mais kadiatou ne fait que pleurer, je pense qu'elle est malade et je suis très...................
Lui:Et,et quoi? C'est écrit sur mon front que je suis docteur ?
Moi:non mais.............
Lui:il y'a pas de mais, prend ton enfant et dégagez d'ici, je pensais même que c'était quelque chose d'urgent, ne t'avise plus jamais de me réveiller pour de telles sotice, idiote (en fermant la porte)
Moi:(en frappant la porte):sotice ? c'est injuste,ouvrez cette porte s'il vous plaît il faut que vous m'aidiez je ne sais pas ce qu'elle a, s'il vous plaît en éclatant en sanglots devant la porte.
Je pleure un bon coup avant de rejoindre ma chambre, s'est devenu une habitude, pendant tout ses deux tout ce qu'il a su faire de bon est de lui donné son nom rien d'autres,qu'est-ce que j'ai fait pour mériter un tel mari quelle erreur ai_je bien pu commettre, je trouve ma fille en pleure toujours, je lui donne mon sein qu'elle prend et après recrache à la minute, tout ça par manque de lait je n'ai même pas assez de lait pour la nourrir vraiment, je décide d'aller mettre un peu d'eau bouillante et du lait pour la lui donnée, qu'elle boit, je mange même pas c'est dernier temps, je ne sais ce que j'ai,mais mon appétit est coupée, je la dépose au dos pour la faire dormir, ce qui marche d'ailleurs.
Elle dort depuis un moment déjà,moi j'arrive pas, je suis triste, faible face à tous ceci, mes pensées se tournent vers ma famille, depuis le temps que j'ai plu de leur nouvelle, même ma mère ne m'a pas parlé depuis ce qui s'est passé, comment elle vit sans avoir de mes nouvelles, comment fait elle, puis que moi je ne pourrai jamais rester aussi loin de cette être qui est à côté de moi pendant même un mois, c'est seule pensée me fond pleurer comme pas possible,ne m'aime telle pas autant, la haine envahi mon cœur à la seule pensée de cette ignoble réalité, je pleure sans pouvoir m'arrêté, pardonne moi ya Allah,mais parfois tout ce que je veux est de moter l'âme tellement s'est dure..........
Dans la peau de Tafsir
Je n'arrive pas à dormir, une tristesse immense est entrain d'envahir mon cœur sans aucune raison, cette fille au visage innocent reviens dans la tête, je me pose tout un tas de questions à son sujet, depuis toute c'est année, c'est aujourd'hui que son visage viens à moi,cette nuit, une nuit dans une tristesse sans raison m'amène à penser à elle, je me lève de mon lit et part faire mes ablutions pour prier jusqu'au lever du jour puis que c'est la seule chose qui abaisse mon cœur dans de telles circonstances.................................................................................................
J'enfile ma veste et descend prendre le petit déjeuner, arrivée en bas je trouve la famille à table
Moi: bonjour
Eux: bonjour
Je m'assoie sur ma chaîse et me sert à manger
Ma mère :fils,es_ce que tout va bien ?
Cette femme
Moi:oui Ma , et pourquoi ?
Elle : rien, c'est juste qu' on dirait que tu n'as pas dormi de la nuit
Moi:non,sava Ma,mange sinon ton café va refroidir en lançant un regard à son café
Mon père :es ce que tu pars à g******,(c'est le nom de l'un de mes entreprise)
Moi :oui, j'ai quelques affaires à terminer là-bas
Mon père : d'accord,tu vas déposée Fatima en cours de route
Moi :pas de problème
Une question me torture l'esprit, et j'ai vraiment envie de la posée
Moi:Ma
Elle :humm (en me fixant)
Moi:es ce que tu as de nouvelles de ma tante ?
Elle :qui? je veux dire qu'elle tante ?
Moi : Safi !
Elle :non,sa fait un moment qu'on ne parle, j'ai appris qu'elle est partie au village.
Moi:tu as appris, vous n'êtes plus des amies ou quoi?
Elle :mais non, c'est juste qu'elle est partie sans prévenir et puis je n'ai pas son numéro maintenant c'est pour cela, pourquoi tu pose la question ?
Moi:non rien je voulais juste savoir, plus que sa fait longtemps que je les pas vu, et sa fille ?
Elle :je ne sais grand chose mon grand,sa fait vraiment longtemps que je n'ai de nouvelles d'eux
Moi:ah d'accord, je me Régine à ses réponses, même si mon esprit et mon cœur n'est satisfait.
Dans la peau de hadeija
Les cris de mon bébé mon sortie de mon sommeil, je me lève après l'avoir calmée pour aller faire mes ablutions et prié, après je pars toucher son front qui se trouve chaud
Moi: je vais aller demande à Alhadj de l'argent pour aller à la clinique
Chose dite, chose faite
Lui: j'ai pas d'argent aujourd'hui
Moi:quoi? Koto, hier je suis venu tu m'as dit que tu n'es pas docteur et aujourd'hui je te demande de l'argent et tu me dis que t'a pas d'argent,mais chasse que je ne quitterai pas ici , sans avoir eu l'argent pour le soin de mon enfant
Lui: n'es ce pas? arrête toi alors
Moi, bien décidé,je reste arrêté comme un panneau, je ne compte pas quitter sans l'argent pour les soins de mon enfant à lui de voir,mais il va me le donné c'est clair et nette..............a suivre
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