Bismillah
Bonne lecture
Dans la peau de hadeija
Une semaine, une semaine depuis que la vie m'a séparée de mes entrailles, une semaine que je n'arrive pas à respirer correctement, la semaine la plus longue de toute ma vie, je comprends maintenant la douleur qu'on ressent quand l'on perd un être qui nous est chère, une partie de moi est partie avec elle.
Je lâche Un gros soupire, avant de me retourné à nouveau dans ce lit.
Soudain la porte s'ouvre sur mon soi-disant mari, celui_là je ne le calcule plus, tout ce qui s'est passé est de sa faute, je sais que c'est la volonté divine mais la cause viens de lui.
Il s'approche de moi, je recule, malgré tout il continue, je sais que c'est mal, mais Dieu sait que je déteste cet homme de tout mon être,j'y pense depuis tout ses jours je veux me débarrassée de ce mariage, même si je sais pas où aller après ça, mais je m'en fiche, je préfère dormir dans la rue.........................
Lui: viens là, pourquoi tu me fuis comme ça (en m'attrapant les hanches)
Moi : lâche moi (en essayant d'enlever l'emprise de ses bras sur mes hanches)
Lui: je ne peux pas car j'ai envie de faire un autre bébé,il me retourne violemment, ce qui me fit lâcher un hoquet
Moi: lâche moi je te dis (en me débattant)
Il ne m'écoutais plus il essaie de me déshabillée, je me débattais, mais non, monsieur est bien décidé, il me donne une gifle, ce qui me déstabilise un moment, je tourne ma tête pour éviter sa salle bouche, y'avais un couteau à côté, je le saisis pour le mettre entre nous
Moi(en me relevant après qu'il m'est lâché): tu......,va t'en!, je te dis de partir sinon je te jure que je n'exiterai pas à te poignardé
Lui : poignardé ?tu es devenu folle, je suis ton mari
Moi:tu n'es pas mon mari et tu n'as jamais été mon mari, toi tu as détruit ma vie, sniff sniff, je veux que tu me libère de ce mariage
Lui:et après ?en me fixant un moment avant d'eclater de rire, et je peux savoir où tu vas allé
Silence
Lui:tu n'as nulle part où aller,tes parents t'ont déjà réniés,tu n'as que moi
Moi:et bien tu te trompes monsieur, tu n'es rien,tu m'apportes rien à part le malheur,tu es plutôt le plus gros poids sur mes épaules et je veux m'en débarrasser (en le défiant du regard)
Lui: d'accord,tu ne m'apporte rien de bon aussi, donc je te libère, demain je veux plus te voir ici
Il sort de la chambre après avoir claquer la porte violemment, je tombe au sol en larme,il n'a pas tord du tout, où vais_je partir ?Mes parents m'ont reniée, je ne connais pas du tout la route pour partir à Conakry, je n'ai pas encore d'argent pour me rendre là-bas
Mais hadeïja tu vas pas aussi continuer avec lui me dise à moi même, je me recouche sur le lit,sa sera peut être la dernière fois donc je vais en profiter du mieux que je peux, et demain direction l'inconnu.....,............. à suivre
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