POV Akaza
Je chassais des humains, ou plutôt un village, il était tard et j'avais faim. Je coursais le chef du village, qui avait tout de suite pris ses jambes à son cou. C'était très amusant de le voir adosser contre un mur en train d'essayer de s'enfuir. Je me dépêchais de le manger sinon les autres allaient m'échapper. Je me remis à courir et je dévorais tout le village. À part les vieux que je me contentais de tuer car ils avaient mauvais goût. Le temps que je finisse de manger tout le monde le soleil commençait à pointer le bout de son nez. Je grimaçais et m'abritais dans une maison.
Merde j'ai cassé le toit et je ne peux plus sortir.
« Maître Muzan, s'il vous plait, envoyez une lune démoniaque me chercher, j'ai faim. »
Je crus mourir quand à midi une silhouette bien trop familière apparue avec une ombrelle. Il marcha lentement vers moi aussi rapidement que le soleil et m'abrita sous l'ombrelle. Je grognais en voyant Douma.
- Merci. Connard.
- Akaza-dono, mon meilleur ami !Je ne répondis rien et on marcha prudemment en évitant le soleil en passant par les bois. Des rayons illuminaient le sol mais ça m'agaçai plus que tout. J'aurais aimé pouvoir m'éloigner de lui mais au lieu de ça je me retrouvais coller à lui. Au bout d'une bonne heure on arrivait à son domaine. Je dois me l'avouer, de tout les démons que j'ai connu c'est celui qui a gardé son côté le plus humain. En soi ça ne me dérangeait pas mais au fond il me rappelait les humains que je détestais, nés sous une bonne étoile.
Pendant que je me perdais dans mes pensées, je me faisais guider par un humain dans une chambre spéciale. À l'abri du soleil simplement. Le domestique avait l'air effrayé et fasciné par mon corps tatoué. Je me léchais les lèvres et le tirais dans ma chambre.- J'ai vu chaque regard sur mon corps que tu as posé mon très cher..~
Il rougit à mes paroles et je le poussais sur le tatami.
- Peut-être que tu voudrais le découvrir encore mieux ? ~
- O-oui monsieur.. s'il vous plait...
Il leva les yeux et je fondis sur son cou pour laisser des marques violacées et voyantes. J'ai hâte de voir la sentence que lui réservera Douma huhu...~
Ses mains se mirent à explorer mon corps et je le laissais parcourir chacun de mes muscles avec attention. Pendant ce temps je le déshabillait pour voir son corps frêle d'humain. Je ne fus pas déçu, il avait une fine musculature qui montrait un acharnement sur le sport. Quel dommage qu'il finisse dans l'estomac d'un démon. Une fois qu'il fut nu je le contemplais et sourit de façon carnassière. Ses joues rougissent encore plus et je ricane. Soudainement la porte s'ouvre violemment.
Je soupire et je tourne la tête vers la personne qui possède ce domaine et me relève en remettant ma veste.
- Q-Je n'ai pas le temps de parler que la tête du jeune serviteur vole grâce à un coup de pied de Douma. Je ricane et me baisse pour commencer à manger.
- Merci.
Je sens un regard noir parcourir mon dos mais je ne le relève pas et je mange dans le plus grand des calmes. Puis la porte se claque, le blond est parti. Je ricane et continue avec mon casse-croûte.Le soir arrive bientôt et je m'apprêtais à partir quand j'entendis une voix m'appelant. Je grognais et me retournais pour poser mon regard sur l'imbécile qui habitait ici.
- Quoi Douma ?
Dis-je d'un ton agacé.- Je veux voir ton évolution en combat. Je parie que tu es fort !
- Quoi ?
- Allez viens te battre !
J'allais protester mais il prit ma main et m'amena dans une salle spéciale. Il s'équipa de ses éventails pendant que me mettait en position de combat à contre cœur.
- Grouille toi.
Râlais-je.
Je n'eut pas le temps de baisser la tête qu'une petite statue de glace m'attaqua. Je l'esquivais de peu et répliquais immédiatement.
Au bout d'une heure nos vêtements étaient en morceaux. J'avais une vue plutôt plaisante sur le torse de l'autre abruti. Ce moment de déconcentration me fit me prendre un coup dans le cœur. Enfin là où se situe le cœur. Je le regardais avec un air désabusé et il retirait sa main en me regardant fier.
- J'ai volé ton cœur !Il me montra l'organe qui s'évaporait lentement dans sa main. J'haussais un sourcil et l'attaquais avant qu'il me sorte une autre ânerie.
- Tu sais, tu as volé le mien.
Me dit-il.
J'arrête de bouger et me fait plaquer au sol par inadvertance.
- Qu'est-ce que tu racontes Douma ? On a pas de c-
Il m'interromps en m'embrassant. Je comprends ce qu'il voulait dire désormais. Je ne résiste pas mais il se décolle de moi. Je pousse un gémissement de mécontentement.
- Reviens m'embrasser gros abruti.
Je le tire vers moi et dépose mes lèvres sur les siennes. Il sourit et répond à mon baiser avec tendresse, mais aussi une luxure qu'il cache bien. Je viens caresser son dos et je baisse son pantalon. Il passe ses mains sur mon torse et titille mes tétons de façon à me faire gémir. Il réussit car je finis par gémir contre ses lèvres. Elles sont délicieusement sucrée. Il se défait de mes lèvres et embrasse chaque parcelle de mon corps, baissant mon pantalon pour que je me retrouve en caleçon, mon érection pointant. Je rougis, il se lécha les lèvres devant le spectacle que je lui offrais. J'écartais mes jambes et frottais mon postérieur contre son membre dur. Il fit voler le dernier bout de tissu qui me recouvrait et commença à me branler. Je gémissais, en demandant plus. Il passa sa bite emprisonnée dans son sous-vêtement contre mon trou, me faisant gémir d'attente.
Je me redressais et le plaquais contre le sol, enlevant son bas. Il lâche mon membre et je commençais à suçoter son gland, le faisant languir. Sa main se posa sur mes cheveux et il me fit faire des gorges profondes. Je gémissais, la douleur de l'étouffement était purement délicieuse. Il finit par venir dans ma bouche, et il me fit signe d'avaler. Je m'exécutais, et pris l'initiative de me mettre en levrette pour qu'il me prenne. Il se plaça derrière moi et frotta son pénis contre mon trou. Je gémissais son nom, jusqu'au moment où il vint me susurrer des mots à l'oreille.
- Tu m'appartiens, compris ?
- O-oui.. mais rempli moi bordel...
Il sourit et me pénétrais violemment. Je criais de douleur et de plaisir, les deux se mélangeaient, mais rapidement seul le plaisir prit place. Je me sentais rempli. Il ne bougea pas, attendant mes supplications.
- D-douma... S'il-te-plaît...
- Que veux-tu cher Akaza ?
- Baise moi putain...
Ni plus ni moins des coups de butoirs commencèrent, il sortait et me pénétrai jusqu'à la base de son membre. Je criais à chaque coup. Je vins rapidement mais ça ne l'empêcha pas de continuer ses coups, martyrisant ma prostate. Je me fis retourner et il me mordit violement le cou. Je vins une seconde fois en criant son nom, j'étais le sien, tout le monde le saura. Je lui griffais le dos pendant qu'il continuait à maltraiter ma boule de nerfs, et il vint en moi, je crus pouvoir tomber enceinte tellement je fus rempli par sa semence. Il expira un râle de satisfaction.
Je grognais, lui montrant que je n'étais pas encore fini. Il prit mon membre et commença de longs vas-et-viens, lents, je me tortillais d'impatience, alors il commença à accélérer et je vins encore une fois entre nous deux.
Je me couchais sur le sol en tatami, Douma s'écroulant à côté de moi.
- Je t'aime Akaza-dono...
- Moi aussi l'abruti.
- Allons prendre une douche.
Je secouais la tête en signe de protestation, mais je me fis soulever par ses bras puissants qui m'emmenaient dans sa salle de bain où l'eau était déjà chaude. Je le foudroyais du regard.
- Tu avais tout prévu pas vrai.En réponse j'obtins un ricanement avant de me faire plonger dans l'eau.
Coucou, désolée, ça fait longtemps que je n'ai pas posté je vais essayer de reprendre un rythme plus cadencé mais la semaine prochaine ça va être compliqué. J'essaye de finir mes brouillons d'abord puis je verrais !
Biz biz