La dance

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Je me mis devant lui et lui demanda :

- Eh bien que faites-vous ici ? Je ne vous ai pas invité non pas que ça ne me fasse pas plaisir que vous vous trouvez ici bien sûr lui dis-je en souriant.

- Vous êtes vraiment une hôtesse agréable et de toute beauté me flatta-t-il.

- Merci ... euh quel est votre prénom par la même occasion étant donné que dorénavant nous pouvons nous considérer comme amis.

- Mon prénom est Adam, Victoria.

- Je vois que vous connaissez déjà le mien. Au fait, comment avez-vous fait pour entrer sans invitation ?

- C'est ma cavalière qui m'a invité.

Une toute petite pointe de jalousie me piqua.

- Puis-je vous inviter à danser ? il me demanda. A moins que cela ne gêne votre petit ami.

- Petit ami ? Vous parlez de William ? Il ne s'agit que de l'un de mes meilleurs amis lui dis-je en riant à ce qu'il venait de dire.

Je vis comme une petite lueur passer dans son regard.

- Vous êtes donc célibataire ?

- Oui j'attends encore mon prince charmant sans doute.

Je lui pris doucement la main et l'entraînait sur la piste de dance. A ce moment là commença un morceau rock plus doux, un slow.

Ce n'est qu'une fois dans ses bras que je puis me rendre réellement compte de sa taille et je peux vous dire qu'il est grand, très grand et large d'épaules. Je ne suis pas petite avec mon mètre 75 et ma corpulence toute en courbe font de moi quelqu'un de moi parfois "imposante",si je puis dire, face aux hommes mais là c'était loin d'être le cas.

- Vous êtes divine si je puis me permettre me dit-il avec un petit sourire.

- Quelle femme refuserait un tel compliment ? Et arrêtez de me vouvoyer Adam, appelez moi simplement Victoria.

- Bien madame me dit-il en riant.

Je le tapais doucement sur son épaule. Nous étions occupés à danser lorsque un vigil vint me chercher à propos d'un problème. Je me retournai vers Adam.

- Je suis vraiment navrée mais je vais devoir vous quitter. J'espère vous revoir à l'avenir lui dis-je sincèrement car oui cet homme me plaisait bien.

- Pas de soucis, je dois moi-même y aller. Soyez sûr que nous nous reverrons. Il accompagna ses paroles d'une caresse partant de ma joue et qui descendit le long de mon cou et sur le côté de ma poitrine. Je ressentis un frisson énorme et sentis même mes tétons se durcir sous ce seul acte. Il tourna les talons et je restais un instant ébahie de ce qui venait de se passer. Puis je suivis le garde.

Dangerous curvesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant