TOURBILLON [ En Cours D'écriture ]

Épisode 9 : Le rejet

**Julie .

( William et moi multiplions les rencontres , et mes sentiments envers lui ne sont que grandissants ) .

- : alors mon amour , te sens tu enfin prête ?

- : oui chéri mais écoute je ... J'ai d'énormes craintes . Et si elle ne m'accepte pas ?

- : Qui n'accepterai pas une femme aussi spéciale que toi ?

- : William ...

- : Écoute ; je t'ai plusieurs fois dis que notre différence sociale m'importe peu . Je t'aime ; j'aime la femme que tu es : sincère, dévouée, battante , ambitieuse et digne .
Quant à ma mère , si elle a des préjugés je règlerai cela avec elle .
Soit tranquille mon amour, d'accord ?

- : D'accord bébé.

( Répondis je le coeur enjoué , tellement enjoué que je lui saute au cou avant de lui faire un bisou )

- : Je t'aime William .

- : Moi encore plus .
Donc je passe te chercher demain ; d'accord ?

- : D'accord .

** William .

( Je suis très content qu'elle se sente moins stressée et que cette crainte vis à vis de ma mère se dissipe peu à peu. Parlant de maman , j'arrive à la maison en même temps qu'elle et nous entrons ensemble )

- : Que me vaut ce sourire ? Encore cette fille dont tu dis être amoureux et tu ne veux pas que je fasse sa connaissance ?

- : Elle même maman ; mais fini le mystère car demain tu la rencontreras .

- : Il était temps .

- : Je l'ai invité à dîner , et je souhaite que tu la considère comme ta belle fille, car elle n'est pas juste un amour passager ou un caprice. Je l'aime vraiment .

- : Eh bien ! Vivement que nous soyons à demain .

** Julie.

- : Tu es magnifique .

- : Merci bébé mais J'ai comme une boule au ventre.

- : Tu n'as pas à t'en faire, tout va bien se passer.

( Il me tient la main puis nous entrons dans ce qui etait comme un palais.
Je puise au fond de moi pour ne pas craquer car je me sens anxieuse rien qu'à la vue de l'immensité de cette maison.

Je lui serre la main lorsque nous entrons dans une pièce où etait dressée une magnifique table .
J'inspire et expire légèrement lorsqu'elle rejoint la pièce et juste son regard a suffit à me remplir de stress.

Waouh ça me fait tellement bizarre d'avoir en face de moi quelqu'un de si populaire que je n'avais l'habitude de voir que dans les médias.
Ça me rappelle le jour du défilé, elle a fait sensation... Qu'est ce que j'admire cette femme.
Elle sourit du coin de la bouche avant de dire :

- : Donc comme ça c'est toi la fille qui tourne la tête de mon fils.

- : Maman je te présente Julie, ma petite amie. C'est elle la fille dont je t'ai tant parlé.

- : Ce visage me dit quelque chose, je l'ai déjà vu quelque part.

- : Mon amour, je te présente ma mère.

- : Enchantée madame .

( Dis je timidement . Elle me tend la main que je prends d'un geste léger lorsqu'elle affirme : )