Point de vu d'Antoine :
Voilà 3 heures que nous sommes à la maternité. Tout les examens sont bon mais après ce petit virage à 90 voilà que notre fille ne fait plus rien. Érika elle est épuisé. Malgré la péridurale elle me dit sentir le ventre se serrer. J'essaye le plus possible d'être présent mais elle m'envoie chier. Cela reste drôle la façon dont elle parle une vrais vulgaire la !
« Moi : Arrête de dire que je pense qu'à ça !
Érika : Plus jamais tu me touchera espèce de pervers ambulant.
Moi : je rigole face à sa réaction Mais avoue tu aime les faire !
Érika : Ta gueule j'éclate de rire Je vais te faire bouffer ta connerie je vais te mettre je ne sais quoi ou je pense ok ! Je me rapproche de son visage et elle se tait direct
Moi : Va si je te trouve belle quand tu es énervé et assez imaginatif sur ce que tu veux faire de ma bouche et mes fesses »
Elle se stop et rigole d'un coup. Je fini par l'embrasser et elle se détend direct. La porte s'ouvre sur la sage femme, qui est plus tôt gêné de nous voir comme ça. Elle examine Eri et nous dit que la dilations a bien avancé. Je demande aussi si cela est possible que la péridurale face un effet démoniaque sur les gens. La sage femme rigole et regarde Erika qui me fusille du regard. Je me remet sur le fauteuil à côté d'elle et ne bronche plus. Alors que je ferme les yeux Erika se met à me parler.
« Erika : Si je m'en sort pas tu dira aux enfants que je serais avec eux chaque jours à chaque moment de leur vie. Et je veux que tu vive, que tu souris avec ce magnifique sourire qui me fait tomber à chaque fois. Je veux même si là ça me fait mal que tu retombe amoureux d'une personne. Promet le moi antoine ?
Moi : Arrête arrête arrête ! Je me lève et m'énerve d'un coup J'ai eu peur on en a parlé on a vu que la mort de bea nous a traumatisé. Mais non ne me dit pas ça. Car même si tu viens à décéder je ne retrouverais personne tu restera la seule dans ma vie et mon Coeur. Je ne veux pas dans ce moment là que tu me parle de ça ok ? Elle fait oui de la tête j'attrape sa main et colle mon front au siens On est une équipe !
Érika : On est une équipe ! »
Elle sert ma main d'un coup signe qu'elle en peux plus. Je sonne direct, une nouvelle sage femme entre et elle regarde, lorsqu'elle relève la tête elle nous fixe en disant « on s'installe ». Comme Erika le voulait j'installe l'enceinte et met la musique qu'elle voulait lors de ce moment la. Elle m'a dit elle sera avec moi pour m'aider.
Je reviens vers elle et attrape sa main tout en plaçant une autre sous sa nuque. Tout le monde autour de nous cours mais elle est moi on se regarde et oui on est une équipe. Je met en route la musique et on commence ! Ce troisième être humain que nous avons fabriqué !
« Sage femme : Jean Jacques Goldman ! Même si je suis espagnol j'en suis fan ce bébé va naître dans une bonne ambiance ! On y va Madame Griezmann ! »
Elle donne tout ce qu'elle peut je sais qu'elle veut y arriver alors que la péridurale est casi plus efficace. Je l'encourage en chuchotant des mots à son oreille. A chaque fois qu'elle relâche elle me regarde et je l'encourage. Elle est si belle, des gens diront que la femme est pas à son plus beau visage en accouchant. Mais je vous jure qu'à chaque bébé qu'elle m'a donné elle a été magnifique et si courageuse. Je retombe amoureux d'elle à chaque fois. Je me met à chanter « Oh belle on ira, on partira toi et moi ou je ne sais pas. Que les route qui tremble destination on se ressemble ». La musique qui passe au même moment où elle donne tout et où a la fin ce petit crie si magnifique ce fait entendre. Elle se laisse tomber en arrière et pleure de joie.
« Moi : Tu l'as fais mon amour !
Érika : Elle est comment ? Je regarde et je pense que mon regard change d'un coup. Ils partent avec elle. Antoine va avec elle. La laisse pas ! Va ! »
Je n'hésite pas une seconde et fonce aux côtés. Je la vois être aspiré elle est violette. Je regarde Erika qui pleure. Non mèrde ! Je demande à une personne ce qui se passe.
« Infirmiere : Elle a avalé du liquide amniotique ils aspirent avant qu'elle s'étrangle avec. Mais je pense que d'ici... le cri de ma fille revient je souffle de soulagement Elle m'a pas laissé le temps je pleure de soulagement putain j'ai eu peur ... La sage femme vient vers moi avec ma troisième merveille et me l'a donné
Sage femme : Avec papa pour qu'il te donne a maman je regarde Erika qui sourit Ça va pas alejandra ? Je lève la tête et vois de l'agitation vers Erika vous allez sortir tout les deux aller dans la pièce à côté faite dû peau à peau ! »
Point de vu du narrateur :
En effet l'agitation autour d'erika est dû au fait qu'elle a eu un malaise ! Après avoir entendu sa fille pleurer et surtout être soulagé qu'elle soit en vie, sa pression est retombée. Une sage femme essaye avec de l'adrénaline de la faire revenir.
« Médecin : Que ce passe t'il ?
Sage femme : Perte de connaissance avec une tension à 6. Mais là son Coeur ralentit ! Injection d'adrénaline il y a 1 minute !
Médecin : Son Coeur est comment ?
Infirmiere : Il part ...
Médecin : Elle vient d'être mère, son mari et son bébé sont à côté ! On est pas dans une journée où elle va mourir ! On s'active ! »
Du côté d'Antoine, la panique est la ! Non elle peut pas le laisser voilà ce qu'il se dit. Une sage femme est avec lui pour le rassurer. Il est tellement en stress qu'il demande à cette dernière de prendre sa fille. Ce qu'elle ne refuse pas. Il tourne en rond, il se met même à prier chose qu'il ne faisait plus ...
Alors que la personne qui est avec lui et qui tiens sa fille a le dos tourné. Il passe la porte et tombe sur la scène la pire pour un homme. La machine indiquant que le Coeur de sa femme ne bat plus ! Il s'avance mais est stoppé par un homme.
« Antoine : Je dois lui parler ! Elle m'entendra et reviendra je vous en suppli
Médecin : Laisse le passer ! »
Point de vu d'Antoine :
J'arrive au niveau de sa tête et abaisse mes lèvres aux siennes je les embrasse mais pas de réponse je me met à pleurer en lui disant.
« Moi : Je t'interdis de partir ! Tu as pas le droit, Mía, Amaro et notre fille qui vient de naître ont besoin de toi. Mon amour j'ai besoin de toi. Je suis rien sans toi, je suis incapable de respirer dans un monde où tu n'y es plus. Je t'en supplie reviens je t'aime aucune réaction alors je colle mon front au sien laissant couler mes larmes Je t'aime ma puce »
D'un coup un bip ce fait entendre. Je lève la tête et regarde l'écran, le médecin dit d'arrêter tout geste. Au bout de 4 bip il sourit
« Médecin : Je l'ai dis ce n'est pas un jour pour mourir »
Érika ouvre les yeux et je la vois pleurer. Je la regarde et souris tout en chialant aussi.
« Moi : Mon amour !
Érika : Tu... Tu ne peux pas vivre dans... ce monde sans moi ! »
Je souris et l'embrasse j'ai eu la peur de ma vie là. Mais elle est là et bien là ! La sage femme nous apporte notre fille et Erika la prend tout en pleurant scene que je pensais irréalisable il y a 5 minutes.
« Erika : Holà ! Alba, Rosalie, Fabienne Griezmann »
Je souris les prénoms de nos grand mères pour notre troisième bébé. Je regarde la scène de ma femme avec son bébé. Ce bébé miracle que nous attendions pas mais qui est là. Je pleure de joie ce qui fais réagir Eri qui tend sa main pour que je vienne avec mes deux femmes. Je suis aux anges là ...
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Je suis horrible je le sais mais tout fini bien avec moi :P. Bonne lecture les loulous et un énorme bisous à ma super, fidèle, gentille fan de ma fiction mille merci à toi ❤️ PriscilliaM08
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Comme dans un reve ...
Fiksi Penggemar« On connaît tous les histoires de compte de fée. Ou à la fin les deux héros vécurent heureux et ont beaucoup d'enfant ! » Érika : J'avoue j'aime bien les histoires comme ça mais attendais que je vous raconte la mienne ! ... : Euh... tu étais seule...
