Chapitre 2

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Kay

19 jours avant de revoir les jumelles

-Blanche ! ça va ? Réponds bordel.

-Oui mais j'ai besoin de ton aide...

- Crache le morceau.

- Un clan à mes deux filles en otage. Il veule 10'000 francs et que dans 19 jours je passe dans la chambre d'hôtel de leur patron. Mais j'ai peur qu'ils tuent mes filles.

- Tu m'appelles que quand t'es dans la merde!

- Kay...

- Je te rappelle, mais ça joue. Je vais trouver un moyens d'arranger la merde que ta causer avec tes histoires à la con.

Je lui raccrocha au nez. Je ne pouvais pas refuser de l'aider. J'ai accepter car mes nièces sont en danger. Mais j'ai toujours vécu dans des quartiers aisé sans clan. Je vais faire de mon mieux. Mon téléphone vibra. C'était Hattie :

Je ne pourrais pas venir au défilé de Versace. J'ai des problèmes familiaux. Mais je viendrais sans soucis à Paris un de ses jours. Je suis libre toute la semaines pour être honnête.

Pour moi vous pourriez venir dès demain matin.

Très bien c'est se qui m'arrange le plus

Hattie

18 jours avant de revoir les jumelles

Les pleurs de Lucie me réveillèrent. Je l'emmenais à la gare ce matin pour qu'elle rentre chez notre papa. J'ai fait un accords avec lui: je le pais pour qu'elle termine son semestre dans de bonne conditions. Si jamais elle me communique quelques chose de négatifs je l'as prends sur le champs avec moi. Elle viendra quand même tout les week-end chez moi pour m'assurer qu'elle soit heureuse.

- Ma puce... Vient dans mes bras.

Lucie se blottit contre moi toute en murmurant:

- Merci...de...faire...tous...ça...pour...moi...

-C'est rien.

Quelques heures plus tard, je l'accompagna à la gare. Elle était brave. Quand son train partis je senti comme un vide se creuser en moi. C'était ensuite à moi de prendre mon train direction paris. Avec 5h de train, j'arrivas à 15h30 à Paris et 15h45 devant sa porte. Son appartement avait l'air spacieux de l'extérieur. Il habite dans l'un de ces quartiers de paris qui ne dort jamais. Tous d'un coup, je me rendis conte que j'allais rencontrer cet homme qui m'intrigue tant. Je sonna:

- Hattie entre, c'est un plaisir de te rencontrer.

- Tout de même.

- Tu as du faire beaucoup de route pour venir. Tu veux manger ou boire quelques chose ?

- Non c'est tout bon, voici le fameux téléphone perdu.

- Oh merci assieds toi.

Nous avons commencé à parler comme si nous étions des amis de longue dates. Je lui ai raconté pour ma sœur. Je me suis même surprise à lui raconter mon passer assez sombres.

The Life is a messOù les histoires vivent. Découvrez maintenant