A Beautiful Lie

Pourquoi as tu dû me blesser comme ça?

"Tu dois te moquer de moi." Georg feuilleta les photos de Taylor, Gustav se tenait derrière lui, les yeux aussi grands que des soucoupes.

"Tu es sûr mec? Je veux dire à 100% sûr ? Elle était morte ! Tu as vu ce que Frank lui a fait, il doit y avoir une erreur." Gustav parlait alors qu'il prenait une de ses photos sur la table devant Georg et continuait à l'examiner.

J'ai enlevé la cendre du bout de ma cigarette et je l'ai regardé, "Je sais ce que j'ai vu, mais je sais aussi que j'étais un gâchis et que je ne prêtais pas attention à tout ce qui m'entourait."

Bill entra dans la chambre, une bouteille de whisky à la main: "J'ai demandé à certains de nos contacts à l'hôpital de consulter le dossier de Taylor et ils ont dit que la position de son coup de couteau était ce qui avait causé sa mort, mais si elle avait été traitée plus tôt et de manière plus appropriée, il ne serait pas mort de ses blessures, Frank n'a touché aucune artère principale, elle a saigné, mais très lentement." Il posa le whisky sur la table et versa l'alcool dans chaque verre : "J'ai parlé à Valérie et elle m'a dit qu'au moment où les blessures lui avaient été infligées, il lui aurait fallu environ dix à douze heures pour saigner. Maintenant, le plus étrange, c'est que nous l'avons retrouvée pas même une heure après le dernier coup de couteau infligé par Frank, vous l'avez emmenée à l'hôpital en une trentaine de minutes et, une heure après avoir été à l'hôpital, elle est décédée.

La sensation dans la pièce était lourde et inconfortable, la réalisation que quelqu'un avait travaillé si bien sous tous nos radars, juste sous notre nez, nous faisait tous sentir comme des êtres humains sans espoir, nous étions devenus négligents et cela est resté évident ce jour-là. Le dégoût que je ressentais pour moi-même, pour m'être laissé aller si bâclé, pour avoir laissé Taylor glisser entre mes doigts si facilement, j'ai voulu me suicider cette nuit-là, mais maintenant j'avais à nouveau quelque chose pour quoi vivre, quelque chose qui valait la peine d'être vécu, je n'était pas seulement se réveiller chaque jour rempli de haine et de regret.

"Eh bien, alors j'espère que Roman est prêt pour nous, parce qu'on dirait que nous organisons une fête pour les garçons." ai-je répondu en portant mon verre à mes lèvres et en goûtant le whisky qui coulait dans ma gorge.

Tout le monde a emboîté le pas et a siroté leurs verres alors que Georg parlait de son siège: "Quel est le plan de toute façon ? Comment comptez-vous nous amener à Prague sans être détectés par le public ? Les choses sont calmes ici pour les gens, tout le monde pense que nous sommes n'est plus là."

Je lui fis un signe de tête avant de regarder Bill qui s'était déjà occupé de tout pour nous, "Nous avons un jet privé réservé pour nous, nous partons tôt demain matin, c'est un vol de 14 heures alors assurez-vous de dormir un peu à bord." dit Bill en prenant la dernière gorgée de son verre.

"Nos contacts dans cette région nous ont trouvé un endroit où rester, mais nous devons nous cacher tôt, nous devons être intelligents, nous ne pouvons pas nous précipiter, Roman est bien préparé, il a un nombre incalculable de gardes et d'hommes dans cette zone qui travailler pour lui, il possède Prague. Nous devons trouver un point faible, et dès que nous le trouvons, nous attaquons. Ils m'ont tous fait signe de la main à l'unisson et nous nous sommes préparés pour le voyage qui nous attendait.

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Je lui souris alors qu'il marchait vers moi, ses bras puissants me soulevant du sol dès qu'il fut à portée de main. J'ai enroulé mes jambes autour de sa taille et me suis accrochée à son cou et quand mes lèvres l'ont trouvé, tout autour de nous est devenu flou, tout le reste n'était plus pertinent, tout ce qui comptait c'était lui et moi. Le goût sucré de ses lèvres me rappelait le bourbon au miel, un goût sucré avec une légère morsure derrière, et quand sa langue glissa le long des lignes et s'enfonça dans ma bouche, je ne pus m'empêcher de la serrer plus fort, en la tordant. vêtements sur ton dos dans mes paumes.