Friendship?

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Quand je rentre dans sa chambre, je le trouve encore mouillé, une serviette autour des hanches. Tout d'un coup j'ai une bouffé de chaleur, je n'arrive plus à parler, je suis comme hypnotisée. Je ne sais pas si ce sont les fines gouttes d'eau qui déferlent sur ses lèvres roses et pulpeuses puis qui descendent sur sa pomme d'Adam, qui ensuite continue leur chemin dans le milieu de sa poitrine recouverte de quelques poils très viril colés à sa peau et de six blocs de béton, ces mêmes gouttes qui termine leur parcours sur cette serviette blanche qui entoure si bien ses hanches. Ce n'est que lorsque je l'entend appeler mon prénom que je me rends compte que j'ai du le regarder un peu trop longtemps et avec un peu trop d'insistance.
Je lève la tête vers son visage et il sourit. Mio Dio, son sourire est juste divin! Comment on peut avoir des dents aussi blanches?

-Hé ho? Je t'attends là
Je repris rapidement mes esprits
-Benh ouais tu devrais te sécher d'abord et tu n'as pas de l'huile de massage?
-Si, dans la douche.
-Ok.
Puis juste avant que je me retourne, il commença à défaire sa serviette.
-Wow wow wow! Tout doux. Qu'est-ce que tu comptais faire comme ça?
-Benh, me sécher ! C'est évident non?
-Mais t'es complètement malade toi!? Tu pouvais pas attendre? T'as vraiment aucun respect !
Il stoppa son geste.
-C'est bon ça va!
Je lui lançai un regard noir et disparu dans son immense salle de bain et en moins d'une minute j'avais trouvé l'huile qu'il me fallait. Je voulais regagner la chambre mais j'avais peur qu'il soit nu donc j'ai couvert mes yeux avec mes mains et je lui ai demandé s'il avait fini. Il s'est mit à rigoler en me disant que mon geste était stupide et m'a finalement autorisé à ouvrir les yeux.
-Couche-toi sur le ventre.
Il m'obéit. Bien que l'idée de m'asseoir sur ses fesses pour effectuer le travail m'est effleurée l'esprit, j'ai décidé de me mettre sur le côté. J'éparpillai quelques goutellettes d'huile le long de sa colonne vertébrale.
-Tends les bras.
-Tu prends ton pieds à me donner des ordres, hein?! Dit-il avant de s'exécuter.
J'esquissai un petit sourire car ce qu'il venait de dire n'était pas faux. Je versai ensuite d'autres gouttelettes le long de ses bras et sur ses épaules. Depuis le début, je ne l'avais pas encore touché, j'évitais tout contact physique. Quand je posais enfin mes mains sur ses épaules pour étaler l'huile, je le sentis frémir.
-Froid?
-Non, ça va.
Je continuais d'étaler l'huile en admirant son corps sculptural. Ses larges épaules, son dos si imposant et ses bras musclés. Hé bien, son coach privé est vraiment doué. J'abandonnai les préliminaires pour commencer réellement le massage. Je commençai par le bas de son dos où se trouvaient dans le creux comme des faussettes, j'en ais aussi. Tout d'un coup, je me mis à carlifouchon sur ses fesses, je dois avouer que c'est bien plus confortable.
-Tu...
-Ta gueule, j'étais sûre qu'il allait me lancer un commentaire désagréable du genre "t'es lourde"
-Tu sais même pas ce que j'allais dire.
-Si, t'allais me lancer un truc du genre "t'es lourde".
-Non, c'est faux! J'allais dire que t'étais hypeeer lourde.
-T'es un vrai gamin toi. Bon la ferme maintenant.
Une fois le silence installé, je continuai mon massage. À un moment, il arrêtait pas de gémir et ça m'agaçais mais j'ais fait comme ci de rien n'était. Une fois son dos fini, je m'attaquai à ses cuisses vraiment énormes, puis ses mollets et ses pieds. Ensuite, je le fis couché sur le dos mais cette fois ci je commençai par ses jambes. Quand j'eue fini avec ses jambes, je m'attaquai à ses bras, à son cou puis pour terminer, son torse. J'étais encore à califourchon sur lui, quand je sentis une bosse contre le jogging que je lui avait emprunté. OMFG!! Il était sérieusement entrain de bander?!
Je poussai un cri à la fois d'horreur et de dégoût puis m'éloignai de lui.
-T'es vraiment dégoûtant!
Il regarda vers le bas et sourit.
-Ah tu veux parler de ça?
Je ne sais pas pourquoi mais j'ais éclaté d'un fou rire silmutanément suivi par Azhar.
-Bon, merci pour le massage.
-De rien, habilles toi maintenant. On sors. Je ne sais pourquoi tu es tombé dans cette ridicule dépression mais c'est le moment de te bouger. Je t'attends en bas, lui dis-je sur un ton déterminé.
-Wouuh, c'est qu'elle donner des ordres!
Je ris et je descend.

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