"Vos bouches vous on déja trahis"

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Face a sa phrase mon corp s'enflamma encore plus et mon sang ne fit qu'un tour dans mes veines.
Ma nudité lui était a présent révélée, elle vient écraser nos lèvres l'une contre l'autre de nouveau mais cette fois ci le baiser était avide et sensuelle.
Machinalement, sa main descendit le long de ma clavicule jusqu'à arriver a ma poitrine qu'elle enpoigna grace a sa main, et la deuxième rejoignis l'autre seins répétant le mouvement.
Je me mis à expirer bruyamment. Son touché était si électrique...

Ensuite, ses lèvres descendirent le long de ma mâchoire pour rejoindre mon cou, jusqu'à par la suite arrivées à la naissance de ma poitrine. Ses mains se fraiyèrent un chemin sur mes côtes tendis que sa bouche s'attarda sur ma poitrine.

Je sentis un gémissement que je ne pouvais plus retenir sortir de ma bouche ce qui fit sourire de satisfaction Louna.

Elle continua mais cette fois ci en déplaçant ses mains vers mon jeans. Elle le deboutonna et le glissa le long de mes jambes avant de le balancer a l'autre bout de la pièce.
Le sourire en coin et le regard brulant de désir, elle me regardai droit dans les yeux pour me demander si j'étais sure de vouloir ce qui allait suivre.

-Je peux?

-Arrete de me torturé Louna, mon corp ne reclame que toi. Dis-je tout bas dans un souffle en aillant la gorge noué.

-Vos désirs sont des ordres. A t'elle dit sur le même ton que moi en se mordant les lèvres.
Elle se retenait de sourire face a ma phrase.
C'était exactement ce qu'elle voulait entendre.

Aussitôt sa main rejoignis ma culotte en rentrant dedans et mon corp se crispa et des millions de frissons traversa mon échine.
Ses doigts glissèrent tout doucement jusqu'à atteindre mon clitoris. Je sentis mon corps se cambré encore plus que ce qu'il ne l'était déjà.

Elle ouvra mes lèvres et joua de ses doigts avec mon clitoris qui commença a gonfler. C'était tellement bon, je ne voulais surtout pas qu'elle s'arrête mais elle le fit, ce qui me frustra.
À la places ses lèvres continuèrent leurs chemins en effleurant ma peau jusqu'à mon bas ventre. Puis a l'aide de ses dents elle joua avec le dernier tissus qui nous sépara.

-C'est si excitant...
Elle l'arracha subitement suite a sa phrase, je sentis mes joues rougir.

Une chaleur me monta quand elle commença a enbrasser l'interieur de mes cuisses.
Peu de temps après elle déposa un dernier baiser sur mon entre jambe avant de venir titiller du bout de sa langue mon clitoris.

Ma respiration devenait de plus en plus saccadée face a ses coups de langue qui allaient de plus en plus vite et je me mis à crier littéralement son prénom. Chaque gémissement sortie de ma bouche faisait étirer ses lèvres de plus en plus.
Une de mes mains passa dans ses cheveux pour exercer une pression.
Ma tête vacilla en arrière. Bordel c'était si bon...

-J'adore quand tu cris mon prénom...

-Louna..... je crois que je-

Ma phrase se termina par un dernier crie qui sortit de ma bouche et mon bassin bougea légèrement de haut en bas. Elle ne s'était toujours pas arrêté pour mon plus grand plaisir.
Par surprise un doigt entra en moi pendant que ses coup de langue passait de mon vagin a mon clitoris et je hurlai littéralement.

-Ne t'arrête surtout pas... dis-je en gémissent.

Ses coups était si intense que quand je me mis a jouir pour la dernière fois j'en tremblais littéralement.
Elle ralentissait tout doucement ses coups et pour finir elle lécha ses doigts. Ensuite ses lèvres se déposèrent sur les miennes, ses lèvres d'une douceur inexplicable. Elle s'allongea à côté de moi.

Quand je repris mes esprits en aillant une respiration plus régulière je m'assis sur elle en califourchon.

-N'aurais-tu pas oublié quelque chose? Dis-je le ton sournois.

-À part le fait que on l'a pas fait en dehors du placard, je n'ais rien oublié d'autre. Dit elle en passant ses mains sur ma nuque.

-Tu sais très bien de quoi je fais allusion.

-Montre le moi alors...

La soirée c'était terminé par un round 2 et quand nous fîmes exténuée l'une à côté de l'autre nous nous avions enfilé nos habits et attendu que quelqu'un nous ouvres.

Le bruit de la serrure retentit, c'était l'heure de enfin sortir de cette endroit si étroit.

La porte s'ouvra sur Alicia.

-A ce que je vois vous vous êtes sauté dessus. Dit elle en souriant le ton vainqueur.

-Je-

-Non, pas la peine de vous défendre, vos bouches vous on déjà trahis. Tout le monde vous a entendue. A rétorqué Romain derière elle avec le sourire en coin.

Le placardOù les histoires vivent. Découvrez maintenant