Chapitre 20

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Désolé d'avance pour les italiens qui lisent cette histoire x() Google traduction pour ma part...

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L'Italie.

Ce pays qui se dévoile sous mes yeux à mesure que nous avançons dans le ciel.

J'ai toujours rêvé voyager, découvrir le monde et pas seulement les quelques villes alentours de Los-Angeles. Mais je n'en ai jamais eu les moyens : famille, argent, rien ne jouait en ma faveur.

Mais c'était grâce à Kael, que maintenant je pouvais réaliser une petite partie de mon rêve qui j'espère un jour s'accomplira.

11 heures et 53 minutes de vol pour être exact. Au début l'excitation m'avait tenue éveillé puis j'avais sombrer. Avant d'arriver dans l'espace aérien italien, kael m'avait réveillé pour que je puisse admirer la vue.

C'était magique, magnifique. Je n'y croyais pas.

Jusque là je n'avais jamais pris l'avion de toute ma vie. J'avais appréhendé, eu peur, stressé mais en aucun cas je m'étais attendu à ce que je ressentais actuellement.

10 minutes et 15 secondes que nous avions atterrit sur le sol italien. Des hommes nous attendaient à côté de voitures noirs aux vitres tintées. Qui à mon avis étaient aussi blindées.

Arrivé à leur auteur, Kael pris ma main dans une douceur infinie qui eu le don de m'électriser. 

- Capo. (Chef/patron)

- Ciao Alfonso. (salut Alfonso)

Si ils parlaient italien tout le long je n'allais pas comprendre grand chose.

- Tutto è andato bene mentre ero via ?(Tout s'est bien passé pendant mon absence ?)

- Si capo. (Oui patron/chef)

- Bene. (Bien)

Alfonso ouvrit la porte arrière de la voiture et Kael le contourna pour me faire passer à l'intérieur en première.

Une fois bien installé je tournais la tête pour pouvoir voir les traits du mafieux.

- Personne ne comprends l'anglais ici ?

Le coin de ses lèvres s'incurva.

- Personne mi angel, à part moi.

Bien sûr.

Cet homme est un enfant.

~~

Nous venions de passer la journée à visiter cette magnifique ville.

Plus tard nous étions arrivés chez Kael. C'était immense, épuré, avec un jardin qui devait faire deux fois la superficie de la maison à LA.

De toute part il y avait des hommes, armés jusqu'aux dents.

La chambre dans laquelle le mafieux m'avait conduite était, à l'image de la maison. L'opposé de celle que j'avais quitté hier. Je venais de finir de m'installer quand ma porte s'ouvrît si brusquement que je ne puis retenir mon cri.

Une jeune femme, entra. Sa chevelure d'un noir profond me frappa, mais c'est lorsque je planta mon regard dans le siens, que ses yeux verts m'étaient des plus familier.

- J'y crois pas...

Elle parlait tellement bas que j'aurais pu croire qu'elle se parlait à elle même. Pourtant ses grands yeux verts étaient braqués sur moi.

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