STARLIGHT

1.4

AMINE
Samedi 21h49, Maison de famille des Alves.

Nous quittons la maison sous les contestations de l'autre raciste. Nous nous glissons dans la voiture le plus vite possible tout en riant aux éclats.

- Sacrée soirée. Dis-je en attachant ma ceinture.

- C'est toi qui le dis. Dit-elle en riant tout en me copiant.

- Tu aurais vu la tête des gens autour de la table tu aurais rigoler. Continuais-je en quittant cet endroit démoniaque.

- Et toi tu aurais vu la tête de ma tante. Son visage s'est décomposé. Finit-elle en se mettant à rire de plus belle.

La voire rire après cet épisode dans la salle de bain me rassure même si au fond de moi, je sais bien qu'elle y pense encore.

La voire pleurer dans mes bras m'a mis hors de moi. Commet peut-elle se mettre dans des états pareils pour des personnes qui ne la méritent pas. J'ai aussi que dire la vérité était impératif car l'apprendre de quelqu'un d'autre pourrait briser sa confiance en moi et elle risque de l'apprendre à tout moment.

Après plusieurs minutes de routes, je prend mon courage à deux mains et tente de lui annoncer.

- D'ailleurs, j'ai quelque chose à te dire. Dis-je hésitant.

Elle se tourne vers moi je fixant se qui déstabilise ma conduite.

- Pas une autre mauvaise nouvelle parce que je risque de pas tenir la soirée. Me répond-elle en riant.

Ses mots me font réfléchir sur le moment choisi pour lui annoncer.

C'est pas vraiment correct après cette soirée.

- Euh, j'ai faim donc on va commander ?

Je la vois bouger du coin de l'œil.

- Super idée ! Ça te dit BK ? J'ai franchement envie de frites au cheddar après tout ça.

- Acquitté. Dis-je pour lui faire plaisir.

Une excès de plus c'est pas si grave ?

- C'est par la. Dit-elle en pointant une intersection du doigt.

☆ ☆

MATHILDE,
Dimanche 10h57, appartement de Mathilde Paris.

La sonnette de mon appartement me tire de mon sommeil torturant mes tympans de bon matin.

Je me cache sous ma couverture espérant voir la personne derrière ma porte s'en aller mais la personnes est prête à tout pour me faire sortir de mon lit, appuyant à plusieurs reprises sur la sonnette et frappant ma porte. Mon téléphone se met à sonner lui aussi prêt à tout pour me réveiller. Je décroche ne sachant pas qui m'appelle.

- Quoi ? Dis-je la voix toujours ensommeillée.

Les coups ainsi que les sonneries on cesser me laissant profiter du calme m'entourant.