Chapitre 8

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PDV Laguerra:

Le lendemain matin, Marinché vient nous réveiller vers huit heures. Elle nous informe que nous pouvons aller prendre nos douches mais de nous dépêcher car elle n'a pas que ça à faire et une fois qu'on aura fini elle nous donnera à manger. Mon père va à la douche en premier. J'en profite pour rester au lit avec Juan.

M: Ça va ?

I: Oui ça va merci, tu as bien dormi ?

M: Oui très.

I: On sera bientôt libre !

M: Tu as bien une épingle dans tes cheveux ?

I: Toujours.

F: J'ai terminé, tu peux y aller Isabella, je vais garder une œil sur lui au cas où il aimerait se rincer l'œil.

I: Papa !

F: Tu ne discutes pas, c'est comme ça !

I: Désolée Juan...

M: Ne t'inquiètes pas, je comprends.

Franchement mon père s'inquiète pour rien ! Juan n'est pas comme ça, c'est un homme d'honneur, un homme bien ! Une fois que nous avons tous terminé nos douches Marinché revient nous voir avec un plateau.

Marinché: Voici votre repas.

Puis elle referme la porte du cachot avant de partir.

M: Nous mettrons notre plan en marche après avoir fini de manger.

Une trentaine de minutes plus tard, la première phase de notre plan commence. Je retire mon épingle de mes cheveux puis crochette la serrure sous le regard admiratif de Juan.

M et F: Tu es magnifique avec les cheveux détachés !

Après s'être rendus compte qu'il avait dit la même chose en même temps ils se regardèrent avec un regard noir ce qui me fait échapper un petit rire. Bon restons concentrés sur notre plan. Après avoir ouvert notre cellule j'ouvre la porte de la prison. Alors que nous montons les escaliers pour trouver Marinché, Juan remarque de la poudre à canon dans un coin.

M: Ça me donne une idée !

Nous continuons notre plan, nous cherchons Marinché pour la faire ligoter. Après une quinzaine de minutes nous finissons par la trouver. Elle est dans une petite pièce en train de faire je ne sais quoi. Nous appliquons le plan de Juan. Nous mettons de la poudre au pied d'un des murs extérieurs de la pièce puis mettons le feu. Le mur explose se qui effraie Marinché. Nous ne lui laissons pas le temps de reprendre ses esprits qu'avec mon père nous la ligottons avec nos fouets.

Marinché: Qu-

F: On fait moins la maligne maintenant !

Marinché: Détachez-moi tout de suite ou vous allez le regrettez !

I: Ouhhh j'ai peur !

Nous lui retirons les clés des cachots et son poignard avant de l'enfermer dans une cellule pendant que Juan récupère les restes de vivres de Marinché. Une fois notre plan accompli nous récupérons nos chevaux et prenons la fuite.


On approche de la fin de l'histoire, j'espère que ça vous plaît toujours :)

Je vous souhaite une bonne rentrée pour ceux qui vont faire leur rentrée lundi ou mardi !

Sur ce bonne journée/soirée

~ Rien que toi et moi ~Où les histoires vivent. Découvrez maintenant