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Sur la grande terrasse, j'étais assise sur un fauteuil et ...lui! Le cheikh était debout.

Arrêter il fait deux têtes que moi et là assise...
Le silence pesait et j'avais la tête baissée.

J'étais perturber en sa présence.

Cheikh : je suis désolé !

Je lève la tête.

Moi : ... pourquoi ?

Cheikh : De vous avoir rien dit avant de débarquer chez vos parents.

Moi : ...

Il s'agenouilla à être face à moi , je voulus me relever mais il me stoppa .

Cheikh : je suis tombé amoureux de vous après vous avoir plusieurs fois observer. Je suis arrivé dans cette ville sans m'imaginer rencontrer ces beaux yeux. Sans savoir qu'elle recouvre cette femme qui me feras changer d'avis sur plein de mes décisions.
Je suis tombé amoureux de cette timidité , cette gentillesse et cet amour pour les enfants.

J'étais perdu dans ces yeux verts, avec ces mots qui me faisait frissonner .

Cheikh : je me fiche complétement du passé... Aïda ! Acceptes tu de devenir ma reine ? La reine d'Hafsar?

Perdu dans ses pupilles. Je me perdais dans mes pensées, j'avais toujours cette peur d'accepter.

Je me rappelle de la parole d' Halima.

   " Écoute ton cœur"

Moi : ... j'accepte !

  Je vu une lueur de joie dans ses yeux, il me prit les mains et y posa un baiser  je retire timidement mes mains .

On fit interrompus par l'arrivée d'halima heureusement !

Halima : ... Je suis désolée ! Heu on vous demandes ..

Je voyais dans les yeux d'halima de l'excitation et elle tentait de se retenir en présence du cheikh.

Le cheikh ! Un cheikh.. j'allais épouser un cheikh ! Je rêve mon Dieu ?

Nous sommes rentrés.

Baba : bien! Vu que nous sommes tous d'accord, passons au chose sérieuse . Fixer la date du mariage ! si votre majesté le souhaite bien sûr.

Cheikh : bien-sûr ! En vrai j'aimerais que tout se passe la semaine qui vient... c'est à dire le plutôt possible.

  ( Silence)

Mère : la semaine prochaine ? C'est... très tôt.

Cheikh (sourit): oui! J'aimerais que tout se passe vite .

Mère : je suis désolée mais nous ne pouvons pas tout préparer dans si peu de temps.

Azur : ne vous en faites pas tout sera prêt d'ici là.. n'oublions pas qu'il est roi et que ses devoirs l'attendent.

  Azur le conseiller du cheikh d'après les présentations du cheikh,il était son conseiller et guide dans les affaires et était comme un père pour lui.

Plus tard, après leur départ.
J'étais assise sur l'un des fauteuils de la terrasse l'esprit ailleurs.

Mère me rejoint avec un verre de lait.

Mère : oukhty !

Elle me fait un bisou au front et me tend le verre de lait.

Mère : tu ne peux pas savoir combien de fois je suis heureuse ma fille .

Je pose la tête sur ses genoux.

Moi : c'est tout ce que je souhaite mère vous voire heureux toi et baba .

Mère : c'est un homme très respectueux ! Bien qu'il soit roi il est très généreux et à bon coeur et je prie qu'il te rende heureuse.

Oumar : qui rendra qui heureuse ?

  Mon frère apparu au seuil de la porte.

Mère : mon chéri !

Il avança et prit place à côté de mère .

Mère : t'es rentré depuis quand ?

Oumar : le temps de prendre une douche..alors vous me répondez?

Mère : on a une bonne nouvelle pour toi!

Il écarquilla les yeux et Jetta un regard vers moi.

Mère : le cheikh de hafsard est venu démender la main de ta soeur.

  ( Silence) je crois qu'il n'en crois pas ses oreilles ?

Moi : oumar.

Oumar : le cheikh ? Caleb? Le roi du royaume d'Hafsard?

Mère : ( sourit) oui mon chéri !

Il se lève je crois choqué de la nouvelle.

Mère : y'a t-il un problème ?

Oumar : .. c'est juste que...

Mère : t'a pas à t'inquiéter il est au courant et malgré tout il est sûr de démender la main de ta soeur.

Je le vu sourire de joie.

Oumar : alors comme ça cette tête de mule va épouser un cheikh et devenir sa reine?

Moi : sa te rend triste ?

Oumar : qui ça ? Pas moi entouca.

Moi : oh ! Avoue que je te manquerai ?

Oumar : jamais !( Rire)...je rigole, je savais que le bon Dieu n'allais jamais nous abandonner. Tu vois mère , tu n'auras plus honte de faire face au gens ça sera plutôt eux qui auront honte de te faire face maintenant.

Mère : ...

Il prit les mains de mère.

Oumar : elles auront honte de te regarder ça tu peux me croire.

Moi : on t'aime tellement mère, tu fais tellement pour ta famille et c'est Allah seul qui pourra te payer.

Une larme coula de sa joue . Elle nous serra fort dans ses bras.

Blessure cachée 🥀Où les histoires vivent. Découvrez maintenant